Mardi 3 novembre 2 03 /11 /Nov 20:07

 

Après la publication de l’article sur la mise au coin, un commentaire nous a été laissé par Majestueux. Leur point de vue nous a beaucoup intéressés au point d’en discuter longuement mon petit soumis et moi. Ne voyez pas dans ma réponse une critique du commentaire qui nous a été fait car grâce à eux nous avons pu avancer un peu plus.

Majestueux, si vous le souhaitez, nous serions ravis de publier sur notre blog l’histoire de votre relation D&S afin de pouvoir bénéficier un peu plus de votre expérience.

 

Extrait du commentaire de Majestueux

Au fil des jeux, madame accepte de plus en plus de challenges. Et malgré cela, le petit soumis est TOUJOURS insatisfait, demandant toujours plus, insistant à chaque instant, relançant sa Maitresse, réclamant plus d'attention encore et encore !

STOP ! La fonction du soumis est d'être là, au service et en attente des besoins. Cela sous tend, ne rien dire, faire et remercier.

Dans le massage d'hier, la transgression est flagrante. Madame accepte un massage. Au soumis de le faire, avec dévotion et attention, en silence, aussi longtemps qu'il plaira à la Maitresse. Celle ci n'en veut plus ? Il lui suffit de repousser son soumis jusqu'à un autre besoin. AUCUNE demande ne doit émerger de sa part. AUCUNE sollicitation. Nous trouvons tous deux, votre Maitresse particulièrement serviable à votre égard. Autant de requêtes, de demandes de pressions mériteraient de sa part un mépris voir un refus du jeu. Vous souhaitez être soumis. Apprenez la patience, le silence et l'altruisme.

 

Réponse de Maitresse Marie

Je trouve le commentaire de majestueux très intéressant même si je le trouve un peu dur. Il nous montre une vision de la relation D&S qui est sans doute applicable après de longues années d’expériences mais qui est difficilement applicable par des débutants comme nous, en tout cas dans les premiers temps.

Nous débutons juste et il est difficile parfois pour moi de ne tenir compte que de mes désirs sans me préoccuper un peu des siens et de ses attentes. Il fait beaucoup de choses pour me faire plaisir et du coup je culpabiliserai un peu de ne rien faire pour lui faire plaisir.

Il est vrai que je pense que mon petit soumis a beaucoup d'attente mais il fait preuve également de beaucoup de patience. Cela ne transparait peut être pas dans les textes qu’il écrit mais le connaissant, je peux vous assurer qu’il fait des efforts pour s’améliorer.

Je manque d’idée et c’est moi qui ai demandé à mon petit soumis de me confier ses désirs et ses attentes. En faisant cela, il sait que ses souhaits ne seront pas forcément exaucés. Il essaye de me laisser devenir la maitresse que je souhaite devenir et surtout à mon rythme. Certes, comme le montre l’article de la mise au coin, il a encore des progrès à accomplir en matière de patience.

Le fait que mon petit soumis ait tendance à me lister ses fantasmes même lorsque j’ai exaucé un de ses précédents vœux peut laisser penser qu’il est insatisfait et qu’il en veut toujours plus. Je ne pense pas qu’il soit insatisfait et pour en avoir discuté longuement avec lui, mon petit soumis ne le pense pas non plus. Il s'agit pour lui d'une façon de me faire part de ses envies, tout en sachant qu'ils ne seront peut être pas réalisées.

Là ou je ne suis pas d'accord c'est lorsque vous parlez de « pressions », ce n'est pas le cas. Vu que nous débutons dans ce genre de relation, il est normal et même nécessaire qu’il me parle de ses attentes ou de ses souhaits. Même si cela m’influence un peu, c'est moi qui au final décide d'accéder à tes désirs ou pas en fonction de ce dont j'ai envie.

J'ai autant besoin d'évoluer dans mon rôle de maitresse que lui dans son rôle de soumis : mon petit soumis a besoin d'apprendre la patience et moi, j’ai besoin d’être plus sévère et plus stricte avec lui. Ca viendra avec le temps sans doute.

Pour finir, la partie "si elle n'en veut plus, il suffit de repousser le soumis", nous rajouterons dans notre cas "avec amour et tendresse" car comme vous l’avez remarqué cette relation D&S nous permet d’être encore plus amoureux et complice.

 

Par Maitresse Marie - Publié dans : Pensées de Maitresse - Communauté : Dominatrice avec son mari soum
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Lundi 2 novembre 1 02 /11 /Nov 22:00

Comme promis, voici la suite de l'histoire de Philippe et Olga. L'histoire complète est également accessible sur la page des blogs amis

La Soumission par l’humiliation voulue du cocu

Pour insister sur le thème de ce blog, dès mon premier adultère, l'humiliation du cocu a été au centre de mon plaisir. Philippe ayant voulu suivre en direct, par le haut-parleur du téléphone, son cocufiage, mes deux amants commentaient tout ce qu'ils me faisaient et moi j'insistais sur le plaisir que j'avais enfin et, dès cette première fois j'ai comparé les prestations de ces mâles aux piètres réalisations de mon mari.

 

L'attitude de mon mari, suite à ma rencontre avec Rachid, a été déterminante pour la suite des événements. Les choses étaient pourtant graves. Non seulement je l'avais fait cocu à nouveau, mais je l'avais publiquement bafoué, puisque le concierge nous avait vus, Rachid et moi, sortir de l'ascenseur, dans un état et une tenue qui ne laissaient aucune ambiguïté sur ce que nous venions de faire. Avant peu, tout l'immeuble serait au courant de mes frasques car je ne doutais pas que ce sale type se ferait un plaisir de répandre la nouvelle.


Rachid m'avait besogné dans le lit conjugal toute l'après-midi. Quand Philippe est rentré peu après le départ de Rachid. J'étais restée sur le lit, nue, portant sur mon corps et en moi les séquelles de mes ébats. il a commencé par recueillir dans ma chatte et sur mon corps le sperme de mon amant. Je lui tenais la tête, le traitant de cocu, de petit pédé.

 



J'ai tout raconté à Philippe et je dois dire que ce soir là, il m'a baisée comme il ne l'avait plus fait depuis longtemps. Certes comparée à la queue de celui qui était désormais mon mâle, le sexe de mon cocu était ridicule. Il avait du plaisir non de me baiser, mais de ce que je lui racontais, en omettant aucun détail, la chatte encore pleine des œuvres de Rachid.

Je me suis efforcée d'aller au fond des choses avec Philippe. J'ai donc relancé la discussion et j'ai été directe, alors qu'il était dans mes bras:

  • Chéri, j'ai découvert au cours de ces derniers mois un plaisir que je n'imaginais pas et dont je ne veux plus me passer. Mais que vas-tu faire? Je ne veux pas te perdre car je t'aime toujours.
  • Mon Olga, je t'aime plus fort que jamais, comme un fou. Je t'encourageais depuis des années à avoir des amants. Bien sûr ça m'excite énormément de t'imaginer, et, pourquoi pas, de te voir jouir sans retenue sous les assauts d'un homme. Mais avant tout, je t'aime et je te donne la plus grande des preuves d'amour. Tu ne me trompes pas, non seulement parce que je t'ai toujours dit que tu étais libre, que je suis d'accord et que je t'encourage. Je suis heureux que tu aies enfin le plaisir que tu mérites. Je veux que tu sois heureuse.
  • Tu te rends bien compte de la situation ? Je suis amoureuse de Rachid, je suis folle de lui, je suis désormais à lui. Il sera non seulement mon amant régulier mais il viendra ici et me fera l'amour à chaque fois qu'il le pourra et en aura envie. Il a exigé que je lui réserve ma chatte. Il me prendra sans préservatif. Pour le moment, je prends la pilule mais je lui ferais un enfant quand il le souhaitera. Toi, tu ne te videras plus en moi. Tu acceptes tout cela ? Tu n'es pas jaloux ?
  • J'accepte tout. Je n'ai qu'un souhait, celui de rester près de toi si tu m'acceptes.

 

Dès le début, Philippe se plaçait donc dans la position du cocu content et humilié.




Quelques semaines après le début de notre relation, Rachid a fini par répondre aux voeux de Philippe et a accepté de me prendre devant mon mari.

 




j'ai participé à tout cela et Philippe ne s'est pas opposé à une action systématique de démolition de notre réputation. Je ne me trouve pas d'excuses, sinon que j'étais folle amoureuse de Rachid, au point d'accepter que nous sortions dans la rue main dans la main, enlacés, que nous embrassions en public. Voilà pour l'humiliation "externe"   du cocu.

Rachid a pris ensuite des initiatives avec pour but ou conséquence d'humilier le mari cocu, le bafouer aux yeux des voisins, des connaissances, des amis, des relations sociales et des collègues de travail. C'est Rachid qui a eu l'idée de m'offrir à des collègues de travail de Philippe et que les choses se passent sur son lieu de travail.

 



Dans les moments de candaulisme "visuel", en clair quand je me fais baiser devant Philippe, nos pratiquons souvent l'humiliation du mari trompé.

·             Regarde, femme, comme le cocu nous mate. Il est impressionné.

·             Par ta queue mon chéri, rien à voir avec son ridicule appendice

·             C'est meilleur qu'avec lui ?

·             Tu plaisantes ? C'était nul avec lui. Il n'est bon à rien, sauf à se branler en nous matant et quelquefois à t'offrir son cul pour que tu l'encules. C'est un pédé et un cocu.

·             Cocu, dis-nous à qui est Olga ?

·             A toi Rachid

·             Je peux tout faire avec elle ?

·             Oui tout

·             Et là que veux tu que je lui fasse ?

·             Que tu la baises et ensuite que tu lui casses le cul

·             Fais-moi plaisir, que penses-tu d'Olga ?

·             Que c'est une salope, une chienne, une catin et que je suis son cocu

·             Tu sais qu'elle m'aime et que je l'engrosserai bientôt ?

·             Oui, tu me laisseras mater ?

·             Si tu es sage. Regarde comme elle m'embrasse, tu n'existes plus pour elle. Elle est folle de moi! Dans un instant elle va couiner, hurler de plaisir.

 

En fait, c'était un scénario convenu entre nous. La première fois que ça s'était produit, je m'étais excusée et Philippe m'avait dit:

·             Ne t'excuse pas chérie. Ca me plait beaucoup. Soyez plus durs avec moi. Ca m'excite.



Philippe est un vrai candauliste qui ne connait pas la jalousie. Il est convaincu que l'égalité entre homme et femme passe par une liberté réciproque dans l'amour et le choix des partenaires. Il a accepté qu'un autre se comporte en privé et en public comme le vrai mari, le remplace dans le lit conjugal, remplisse le devoir conjugal, se réserve seul le droit de jouir dans ma chatte, finisse par me féconder. On peut me dire que Rachid ne m'aimait pas et se servait de moi et donc qu'avec lui, Philippe ne risquait pas de me perdre.

C'est très différent avec Hassan, mon "mâle " actuel, qui se revendique comme mon mari. Hassan est mon homme mais je ne veux pas me séparer de Philippe. Pourquoi ? Certains diront qu'il a à peine les attributs légaux de l'époux, que je ne suis plus à lui, que notre mariage n'est plus qu'une fiction. Mon plaisir, mon bonheur ne seraient pas identiques, sans sa présence, sans son regard amoureux et excité sur moi quand je fais l'amour devant lui. La communion du plaisir passe par ces échanges de regards lors de l'acte ou par des "aveux physiques" lors de leur intimité retrouvée.

 

Oui les choses ont été beaucoup plus loin que Philippe ne les imaginait au départ. Il voulait que je prenne un amant, des amants, pouvoir mater. Me voir devenir bisexuelle l'avait réjouit. Oui, je pouvais pratiquer sans restriction adultère, fellation, sodomie, doigtage, gode et même fist. Il voulait me voir dans des partouzes et des gang-bang. Mais nous ne pouvions imaginer les milliers de rapports, les centaines d'amants qui ont "déshonoré" mon mari depuis deux ans. Il ne pensait pas que je tomberais amoureuse de certains de mes amants (et de mes maîtresses), que je serais par moments sous la coupe de la redoutable Marie, que Rachid se vengerait sur nous de sa haine de la bourgeoisie de sa ville. Il ne voulait pas, mais n'a pas su empêcher, certaines dérives.

 



Nous ne pensions pas que cela m'amènerait à concevoir un enfant hors mariage. Là encore, l'amour de Philippe est sans limites. Il l'a accepté tout de suite, il a assisté à la conception. Philippe a raison, cet enfant est le sien, il n'aurait jamais été conçu sans notre aventure candauliste.

Et pourtant Philipe est toujours à mes côtés, alors qu'il aurait du me perdre. Je n'ai jamais voulu, même en étant amoureuse d'un autre, reconstruire avec un autre le lien exclusif que Philippe m'avait tant invitée à transgresser. J'ai toujours refusé le divorce. Pas seulement parce que la présence de Philippe, lors de mes ébats, son regard, son humiliation, m'excite tout particulièrement. La récompense de Philippe, c'est le plaisir qu'il lit dans mes yeux quand je me fais prendre devant lui.

Rien ne pourra nous séparer, dans l'équilibre très particulier que nous avons trouvé.

Olga

 

La vision de Philippe

L'amour est la condition primordiale aux plaisirs et à la réalisation du Candaulisme. Contrairement à l'échangisme et au triolisme, il n'est pas question pour le couple de partager avec d'autres leur fantasme ou leur plaisir. Leur démarche est égoïste, une recherche de l'absolu, il s'agit d'abord du plaisir des deux uniquement. Même si, pour le réaliser, ils doivent obligatoirement avoir la présence d'un tiers. Pour revenir à Olga et à moi, personne ne peut nier mon amour absolu, aveugle, pour Olga.

Oui, je suis soumis et humilié car je n'ai plus que le titre de mari. Seuls les mâles successifs, Rachid puis Hassan, ont désormais le droit de se vider dans sa chatte et Rachid l'a fécondée. Et même le titre de mari m'est de fait contesté aujourd'hui par Hassan.

Mais j'ai accepté ce que d'autres prendraient pour une humiliation car, pour moi, l'essentiel est qu'Olga jouisse, qu'elle ait du plaisir, qu'elle soit heureuse.

 

Oui, j'aime ses "oh oui, vas y mon amour, oui comme ça plus fort oui, bien à fond", ses gémissements, ses plaintes de plaisir, qui deviennent des cris, des hurlements.

Ca tourne quelquefois à l'humiliation quand l'amant lui demande si "c'est meilleur qu'avec ton cocu", qu'elle répond "évidemment" et qu'ils échangent des paroles d'amour, sans se soucier de ma présence.

Oui Olga et moi sommes un couple fusionnel, ce qui explique que nous sommes toujours ensemble et qu'elle n'a toujours refusé qu'une seule chose, que j'étais tout prêt à accorder si elle l'avait demandé : le divorce.

Pour Olga, son plaisir, son bonheur ne serait pas identique, sans ma présence, sans mon regard amoureux et excité sur elle quand elle fait l'amour devant moi. La communion du plaisir passe par ces échanges de regards lors de l'acte ou par des "aveux physiques" lors de leur intimité retrouvée.


On peut être cocu sans le savoir. La principale caractéristique du candauliste est qu'il est un cocu qui sait, qui ne considère pas ce qu'il lui arrive comme une infortune, comme une disgrâce ou comme une honte. Il est un cocu qui non seulement sait ce qu'il lui arrive mais qui l'a voulu, qui a tout fait parvenir à ce résultat et qui en tire un grand plaisir.

 

 Alors oui le bonheur du mari candauliste que je suis est de voir Olga baisée encore et encore, jusqu'à ce que les deux amants s'effondrent, en particulier quand Rachid ou Hassan lui inondaient le vagin de leur semence abondante. Je ne m'en lasse pas, même si je suis dominé, bafoué, humilié aux yeux des autres et de l'amant.

Quelquefois, j'ai droit d'embrasser ou de caresser Olga pendant qu'elle se fait prendre. Mais mon vrai plaisir de candauliste est d'assister, je jouis sans même me toucher. Nous pratiquons surtout, à mon grand bonheur, le candaulisme visuel et je ne m'en lasse d'autant moins que Rachid, puis Hassan n'ont cessé de varier les situations en offrant ma femme à d'autres.

Oui les choses ont été beaucoup plus loin que je les imaginais au départ. Je voulais que mon épouse prenne un amant, des amants, que je puisse mater. La voir devenir gouine m'a réjouit. Je voulais aussi qu'elle pratique sans restriction adultère, fellation, sodomie, doigtage, gode et même fist.

Oui je voulais voir Olga dans des partouzes et des gang bang. Je ne pouvais rêver aux milliers de rapports, aux centaines d'amants qui m'ont "déshonoré" depuis deux ans. Et bien j'espère, si Olga le veut, qu'il y en aura encore beaucoup d'autres.

Il y a deux ans, elle était une épouse honorable, la femme de Monsieur Philippe T, un notable. Elle était fidèle mais en même temps profondément frustrée, hautaine, méprisante, malheureuse. Aujourd'hui, femme adultère, elle passe aux yeux de beaucoup pour une salope, une putain. Elle est heureuse, c'est tout ce qui compte pour moi !

Philippe

Par Philippe & Olga - Publié dans : Couples D/s Epanouis - Communauté : Couples candaulistes
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Dimanche 1 novembre 7 01 /11 /Nov 12:00

 

Préambule

Je publie aujourd’hui l’histoire de Philippe et Olga, un couple épanoui qui a découvert la soumission par la pratique du candaulisme. Même si je ne partage qu’une partie de leurs fantasmes, je reste admiratif de l’équilibre et de la complicité qu’ils ont su trouver de part cette relation particulière.

Leur histoire montre qu’il n’y a pas une relation D&S mais DES relations D&S et surtout que vivre ses fantasmes permet bien souvent d’atteindre un bel équilibre si l'amour est le ciment du couple. Je souhaite à Philippe et Olga de continuer à nous faire partager encore longtemps leur bonheur, bonheur qui est largement exprimé dans les textes publiés sur leur très beau Blog de Philippe et Olga.

Leur histoire étant racontée avec beaucoup de détails et accompagnée de nombreuses et belles photos d'Olga, je la publierais en 2 parties aujourd'hui et demain.
 

Introduction de Philippe et Olga

Nous avons été sollicités par "Petit soumis" pour publier nos histoires sur nos blogs respectifs, en insistant sur l'évolution progressive vers la soumission totale de Philippe au plaisir d'Olga. Nos approches sont différentes, notre histoire étant davantage fondée sur le candaulisme et celle de "Petit Soumis" sur une relation D/S, mais c'est bien volontiers que nous répondons à cette demande de "liens inter-blogs" et que nous accorderons la réciproque à "Petit soumis", en souhaitant d'ailleurs à ce très joli couple, un bonheur complet dans la réalisation de ses envies D/S et plus s'ils le souhaitent!

Notre récit est écrit à deux mains, le premier texte étant d'Olga, le second de Philippe. Il est l'histoire d'un couple classique, avec une jolie épouse fidèle mais insatisfaite. Ce couple a trouvé le bonheur une fois devenu candauliste. Vous trouverez sur notre blog toutes les explications sur le candaulisme. Retenez simplement que le candaulisme est une pratique sexuelle liée à l'excitation de voir son (sa) partenaire avoir des relations sexuelles avec une autre personne. Le candaulisme est caractérisé par un fantasme bien précis : voir son épouse faire l'amour avec une ou plusieurs personnes étrangères à son couple.

Nous nos présentons brièvement : le mari cocu, Philippe, 44 ans, amoureux fou de sa femme mais mauvais amant qui a réalisé son fantasme candauliste au delà de ses espérances. Son épouse Olga, 31 ans, ex-épouse sage sous qui sommeillait une putain qui assume pleinement sa transformation. Elle a trouvé le plaisir dans les bras des autres et ne peut plus s'en passer. Le plaisir de Philippe est de voir Olga jouir sans limites. Il est heureux quand le sperme coule de la chatte, du cul ou des lèvres d'Olga. Ce qu'il préfère : mater.

Philippe et Olga.

 

Comment Philippe a su me convaincre, raconté par Olga

C'est dans le cadre de mon travail que j'ai rencontré Philippe. Philippe a du charme, il me rassurait, il m'attirait aussi par la force des sentiments qu'il me portait. Nous avons fini par devenir amants. Ce qui a été surprenant, par rapport à la suite, c'est que sans être exceptionnel, il était à ce moment là un amant performant. Nous nous sommes mariés en 2003.


Philippe m'adore et fait tout pour moi. Mais, petit à petit, dans nos relations intimes, il ne m'apportait plus satisfaction. Souvent trop excité, il était victime d'éjaculation précoce. En plus il n'était pas très doué pour me donner du plaisir avec la langue.

J'ai tout essayé pour le mettre en confiance car je l'aime. J'étais obligée bien souvent de me "finir" en me masturbant ou en étant doigtée par Philippe.

J'étais profondément frustrée par cette situation. C'est Philippe qui, le premier, m'a proposé de prendre un amant. Ce que j'ai refusé alors avec indignation, voulant être fidèle à l'homme que j'aime.

A partir de ce jour, le scénario candauliste revint souvent dans nos ébats. Je pensais à ce moment là que le candaulisme était un fantasme de mon mari et qu'il permettait, d'une certaine manière, d'améliorer ses performances pour son devoir conjugal. Pour ma part, dans l'accomplissement de mon plaisir solitaire qui ne faisait qu'accroître ma frustration, j'avais de plus en plus recours à ce fantasme.

L'étape suivante a été ma tenue vestimentaire. J'avais toujours aimé, dès l'adolescence, m’habiller sexy et court. Mais Philippe poussa les choses encore plus loin. Il m'encourageait à porter les tenues les plus sexys, les plus osées. Les robes qu'il m'offrait devaient être courtes pour mettre en valeur mes jolies jambes et mes petites fesses, avoir des décolletés vertigineux, le dos nu. Il disait qu'il était fier de lire dans le regard des autres hommes le désir que je leur inspirais. J'ai fini par céder et je dois dire que je me suis prêtée au jeu. Le regard de désir des hommes, la barre qui déformait leur pantalon, la manière courroucée dont certaines femmes me dévisageaient, au départ tout cela m'a gênée, j'avais honte.

Et puis petit à petit, j'ai pris conscience de ma beauté. J'étais flattée et frustrée de cette situation.

Beaucoup de ses amis, de nos voisins, de ses collègues de travail, me draguaient ouvertement. Je ne donnais pas suite et repoussais ces avances, plus ou moins brutalement selon leur origine, mais sans laisser le moindre espoir.

Philippe tenait souvent des propos qui les encourageaient ouvertement, par exemple que j'étais totalement libre et qu'il ne verrait aucun obstacle à ce que je prenne des amants. Je passais à tort pour une allumeuse, le comportement de Philippe m'agaçait mais en même temps me troublait, m'excitait et me poussait au plaisir solitaire, imaginant des amants vigoureux me satisfaire. Je me disais que si mon mari le souhaitait, pourquoi ne pas lui faire plaisir. Et en même temps, ma morale, mon statut social me poussaient à persister dans mon refus. C'était une torture car j'étais très frustrée dans ma vie sexuelle, compte tenu des piètres performances de mon époux. J'ai compris par la suite que, dès ce moment, Philippe voulait s'humilier à mes yeux et ceux des autres.





Je voulais rester une épouse sage. Dans les réceptions, je n'étais pas dupe des baises main où l'homme se penchait bien, pas par déférence mais pour bien mater ma poitrine.

Philippe avait gagné cette première étape. Je ne rechignais plus à participer aux sorties et dans des tenues que l'on ne pouvait pas ne pas remarquer.




Pour autant, je continuais à refuser les avances. Je me suis faite coincer plusieurs fois par des types, lors de ces soirées, dans une pièce isolée, dans le jardin de la maison de l'organisateur et même aux toilettes. J'ai toujours réussi à les repousser, plus ou moins brutalement. Quelquefois, ça se terminait par une gifle et par des insultes, je me faisais traitée de putain et de petite allumeuse.



J'essayais de maintenir le fragile équilibre entre ma fidélité et cette exhibition, de ne pas céder aux tentations et aux invitations candaulistes de mon mari. Ma ligne de défense étant que ce n'est pas parce qu'une femme s'habille sexy, voire provocante, qu'elle doit être forcée.

Ma tête disait non quand mon corps disait oui, appelait le mâle, demandait des étreintes viriles. J'ai fait une ultime résistance à cette nature entre mars et juillet 2007, après le retour d'un voyage au Brésil. Là bas, je ne m'étais pas offerte une seule fois mais plusieurs fois à des inconnus, nous avions eu avec Philippe notre première expérience de candaulisme auditif puisque mon époux avait pu suivre en direct, sur le haut-parleur du téléphone, tout ce que ces deux inconnus faisaient à son épouse enfin adultère. Pour éviter toute tentation, je me privais de sorties, au grand dam de Philippe.

 


Le paradoxe apparent fut que mon adultère définitif et permanent a commencé, non dans une sortie mondaine, dans un dîner ou autre, mais à l'occasion d'un bref passage au supermarché du quartier. C'était là que m'attendait mon prédateur, Rachid et c'est dans mon immeuble même (et pour être plus précise dans l'ascenseur de mon immeuble, le concierge, complice de Rachid, ne perdant pas une miette des preuves auditives de ma capitulation) qu'il a remporté sa victoire éclaire et complète. J'ignorais à ce moment là que, en désespoir de me convaincre de continuer ce que j'avais commencé à Rio, Philippe avait fait appel à ce fauve pour obtenir ma capitulation. Il me l'a avoué plus tard et, alors que j'aurais du être furieuse d'être traitée ainsi, je n'en veux pas à Philippe. Sans cette initiative, je ne sais pas ce qui se serait passé. Soit je serai devenue folle à force de refuser ce que mon corps réclamait, soit j'aurai fini par prendre un amant "classique", un adultère mesquin, hors cadre candauliste. J'aurai divorcé et je n'aurai pas vécu tout ce que j'ai connu et que je ne regrette pas, oh que non!


Olga nous racontera la suite de leur histoire demain.
Philippe nous donnera également son point de vue .....


 

Par Philippe & Olga - Publié dans : Couples D/s Epanouis - Communauté : Couples candaulistes
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Samedi 31 octobre 6 31 /10 /Oct 15:47

 

Avant l’histoire racontée sur notre blog mon petit mari soumis, nous étions un couple « vanille » tout à fait normal si tant est qu’on puisse parler de normalité ou d’anormalité. Nous étions heureux et amoureux. Après quelques années de mariage, sentant la routine s’installer et même si elle était plaisante, nous voulions varier nos plaisirs. Après tout la vie est trop courte pour s’enfermer dans des carcans.


Au commencement était les jeux

Au début, nous jouions à des jeux de domination le temps d’un week-end, plus basé sur le dirigisme et sur le désir. Le jeu consistait à décaler ma jouissance au lendemain. Pour tout vous avouer, j’avais eu l’idée de jouer à ce type de jeu pour faire durer le plaisir, pour multiplier nos échanges coquins. Je me rappelle encore de la fois où j’ai été le petit soumis de ma femme pendant tout un week-end. Nous avions fait l’amour le samedi sans que je n’aie le droit de jouir. Nous avions échangés de longues caresses, beaucoup de tendresse. Le lendemain, ma femme m’avait excité toute la journée allant même jusqu’à me faire une fellation presque complète. Nous avions conclut ce week-end par une fabuleuse jouissance pour nous deux. Nous avons joué de temps en temps à ce jeu mais sans envisager de lendemain. De part ces expériences, la soumission commençait à faire son chemin dans mon esprit.


J’étais excité aussi par les jolis petons de ma femme et sachant cela, elle prenait plaisir de temps à autre à me masturber avec ses pieds ou à me faire les embrasser.

Ma femme se pensant soumise et étant excité par cette situation, de temps à autre, nous jouions aussi à des jeux où ma femme était ma soumise.

 

L’échangisme

Quelques temps après, pour varier nos jeux, j’ai proposé à ma femme de faire de l’échangisme. Au départ, elle n’était pas trop pour mais à force de discussion, elle s’est laissée convaincre. Nous sommes partis à la recherche d’un couple sur un site de rencontre. Nous avions trouvé un couple mais au dernier moment, il nous a annoncé que sa femme avait changé d’avis. En fait, il s’agissait d’un faux couple comme il en existe beaucoup sur le net.

Au cours d’une de nos discussions, il nous a parlé de candaulisme et nous a proposé de réaliser le fantasme du cocu. Au départ, je ne savais pas trop ce que cela voulait dire mais l’idée de voir ma femme faire l’amour avec un autre devant moi tout en étant complice tous les deux m’excitait. Ma femme aussi était excitée à l’idée de faire des rencontres. Ce scénario ne s’est pas réalisé dans les termes proposés.

Nous l’avons rencontré malgré tout. Il se disait dominateur et quelque part cette idée nous excitait tous les deux. Cette rencontre a été décisive car ma femme s’est rendue compte qu’elle n’était pas soumise comme elle le pensait car la domination de cet homme l’a plus énervé qu’excité. En fait, si la soumission l’excite, ce n’est que pour diriger son plaisir.

Pendant cette période échangiste, ma femme a fait quelques rencontres seules avec mon autorisation. Ma femme a beaucoup appréciée ces rencontres ainsi que le dialogue avec d’autres hommes. Cela a réveillé en elle son besoin de séduire et elle s’est découvert un penchant pour le libertinage. En ce qui me concerne, j’ai mal vécut ces rencontres car j’avais le sentiment que j’allais perdre ma femme et je ne supportait pas cette idée. Je n’étais pas jaloux qu’elle couche avec d’autres hommes mais inquiet de perdre son cœur.

Je ne regrette cependant pas cette période d’une part parce que nous nous aimons encore plus aujourd’hui, ces expériences ayant renforcés notre couple. Ces rencontres libertines m’ont laissé un fabuleux cadeau : une femme encore plus séduisante qu’avant et qui cherche à me plaire chaque jour d’avantage. Elle ne sort plus sans s’être maquillée et surtout elle veille à toujours être séduisante même si elle ne compte pas sortir de la maison. Pour dire la vérité, nous avions tendance à nous laisser aller auparavant. Cette période est désormais révolue.

Au départ, je me suis intéressé au candaulisme comme moyen d’être soumis avec ma femme. Nous avons fait quelques rencontres ensembles mais il s’agissait seulement de trios classique. Je n’étais pas soumis lors des rencontres même si à la même époque nous avons tenté une relation D&S.

Pour finir la parenthèse sur le candaulisme, c’est un fantasme qui m’attire encore et qui plait aussi à ma femme. Nous y reviendrons lorsque nous nous sentirons prêt mais nous le ferons différemment en privilégiant notamment notre complicité.

 

Première relation D&S, premier échec

Il y a un an, nous avons essayé une première relation D&S. Ayant visité beaucoup de site sur le sujet, j’ai été droit au but en proposant dès le départ à ma femme un contrat de soumission. Nous avions organisé une soirée coquine où à genoux aux pieds de ma femme, nous avions lu le contrat. Je pensais qu’il suffisait d’un papier et que d’un claquement de doigt, nous nous transformerions en Maitresse et Soumis. Quelle erreur !!!

Nous avions fait beaucoup de règle que nous n’arrivions pas à suivre du simple fait de la vie quotidienne. J’avais mis dans ce contrat tous mes fantasmes masculins et comme ma femme avait signé le contrat, je m’attendais à ce que mes fantasmes soient réalisés. Ma femme n’étant pas au fait de ces pratiques, je lui avais fait une synthèse de la parfaite dominatrice en lui fournissant tout plein de documentations trouvées sur le net. Elle était en voie de formation, y’avait plus qu’à !!!

Durant cette première expérience, je me dominais moi-même en disant à ma femme « tu devrais faire ça », « tu pourrais faire ça », « j’aimerais que tu fasses ça », etc. Ma femme réalisais certaines de mes demandes pour me faire plaisir. Au lieu de m’en contenter et d’être heureux qu’elle accède à mes désirs, je faisais sans cesse de nouvelles demandes à ma femme.

Au final, j’ai réussi à la dégouter de la domination car je n’étais pas soumis en réalité. Elle a mal vécut cette période du fait de mon harcèlement constant. Nous avons finalement arrêté cette expérience ou plutôt fait une longue pause.

 

Seconde relation D&S, début d’une réussite ???

Nous étions amoureux l’un de l’autre plus que jamais et nous voulions que notre complicité soit de plus en plus grande. Nous ne voulions pas retomber dans la routine même si notre routine n’était pas si désagréable que ça. Nous avons donc décidé de retenter l’expérience.

Je suis revenu à la charge et j’ai réussi à convaincre ma femme de renouveler l’expérience. Elle a été d’accord à condition que je la laisse évoluer à son rythme cette fois-ci. Après de longues discussions, nous avons convenu que nous fixerions pas de règle, ni de contrats de soumission. Nous ne nous fixerions pas d’objectif mais nous nous contenterions d’avancer ensemble au rythme décidé par ma femme. Notre seconde relation D&S pouvait commencer.

J’ai beaucoup appris en consultant ce site d’Elise Sutton et notamment que pour réussir une relation D&S, il fallait commencer par montrer sa soumission avant d’espérer voir la domination de sa femme. Pour réussir à transformer ma femme en dominante, il me faudrait faire preuve de soumission et non de me contenter d’en parler. Il fallait que je centre notre relation sur les désirs de ma femme, que je lui fasse plaisir, que je la surprenne, que je la laisse évoluer à son rythme et surtout que je lui prouve mon amour pour elle chaque jour. En deux mots, il me faudrait apprendre LA PATIENCE. Dur dur pour un hyper actif comme moi.

Désormais, j’applique les principes décrits sur ce site à savoir que la soumission de l’homme nourrit le caractère dominant de la femme. Je m’évertue de faire plaisir à ma femme, à la rendre heureuse. Je fais preuve de patience et je ne me contente plus de parler de soumission mais je le fais. Je fais preuve de beaucoup d’ingéniosité aussi pour surprendre ma femme. Cette relation la rend encore plus heureuse, plus amoureuse. Elle est touchée par le coté « chevalier servant », par le coté tendresse qu’implique cette relation. En retour et sans que je n’exige de contrepartie, elle exauce mes désirs non parce que je le lui demande mais juste parce que je lui laisse y venir lorsqu’elle se sent prête à tenter une nouvelle expérience. Pour paraphraser Kennedy, je dirais que pour réussir à transformer sa femme en dominante, il ne faut pas se demander ce que sa femme doit faire pour dominer mais ce que le mari doit faire pour être soumis.

C’est cette histoire que je raconte quotidiennement sur notre blog « Mon petit mari soumis » : l’histoire d’un couple « vanille » qui évolue progressivement vers une relation D&S en privilégiant l’amour et la complicité.

 

Par Petit Soumis & Maitresse Marie - Publié dans : Couples D/s Epanouis - Communauté : Couples candaulistes
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Vendredi 30 octobre 5 30 /10 /Oct 20:45

 

Préambule

Vivre une relation D&S, apprendre à devenir une Maitresse, vivre avec un soumis qu’on aime implique beaucoup de dialogue de part et d’autres d’autant plus que nous nous considérons comme des apprentis « Maitresse » et « soumis ». Rien n’est encore figé, tout est en construction. Chaque erreur nous est bénéfique et nous permet d’avancer, de franchir un nouveau cap.

Le blog est une aide précieuse puisqu’il nous permet de continuer à échanger après évocation de tels ou tels sujets. Lorsque mon petit soumis raconte certaines de nos aventures ou évoque des sujets particuliers, nous en discutons longuement. Voici le résultat de notre cogitation sur le sujet de la douleur dans la domination. L’article « la première séance BDSM » a été le point de départ de cette discussion.

 

La douleur

Je ne suis pas encore très à l'aise avec le coté douleur de la domination car je veux que ça reste agréable pour mon petit soumis. Où serait l’intérêt pour lui ou pour moi si je le faisais souffrir pour rien. Ca ne serait pas du plaisir mais du sadisme et je suis loin d’être une femme sadique.

Punir, fesser, cravacher, oui … enfin, à ma façon !!!
Repousser ses limites, le tester, peut-être, on verra bien !!!

Je ne sais pas encore jusqu'à quel point je peux aller pour que ça reste agréable pour mon petit soumis ou du moins pas trop douloureux. Il me faudra augmenter progressivement, tester, essayer, voir comment il réagit. C’est quelque chose qui viendra avec le temps et l'habitude.

Je pense surtout que le plus excitant pour mon petit soumis est justement de ne pas savoir si je vais lui infliger de la douleur ou au contraire être douce. C'est ce coté là qui me plait en tout cas.

Sur ce point, mon petit soumis et moi sommes en phase. Nous sommes tous les deux intéressés par le même coté de la domination … chacun à sa place.

 

Une idée de la domination

Je pense que la domination c’est aussi jouer avec la peur et l'attente de façon à permettre au soumis de serrer les fesses lorsqu’il pense qu’une claque va s'abattre. Pour avoir une appréhension, cela sous entend qu'il y ait au moins une tape forte au moins 1 jour pour craindre que les autres soient pareils.



La domination c’est aussi jouer avec l’attitude, avec le ton de la voix ou des ordres secs. La domination c’est aussi jouer avec la surprise, c’est aussi surprendre l’autre et lui faire faire des choses qu’il ne ferait pas en temps normal. C'est en tout cas, ma vision d'apprentis Maitresse.

 

Les mots de sécurité

Pour me permettre de me libérer et de ne pas craindre d’aller trop loin ou de me laisser emporter par mon excitation ou la sienne, nous avons décidé d’introduire des mots de sécurités dans nos jeux :

·             Aille :
signifie que le coup est un peu trop fort. Lorsque mon petit soumis dira ce mot, je lui demanderais si j’ai été trop fort. Selon sa réponse, je continuerais avec la même intensité ou je la diminuerais.

·             Stop :
signifie qu’il faut arrêter car il a trop mal.

 

Avec ces mots, je me sens plus rassurée car cela fixe une limite et cela me permet de penser que cela restera agréable pour mon petit soumis.

 

Conclusion

Je ne suis pas contre l’idée du BDSM mais il me faudra du temps. je le ferais aussi à ma façon. Mon petit soumis en est bien conscient.

Par Maitresse Marie - Publié dans : Pensées de Maitresse - Communauté : Dominatrice avec son mari soum
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