Histoire - Philippe et Olga, couple candauliste

 

Préambule

Je publie aujourd’hui l’histoire de Philippe et Olga, un couple épanoui qui a découvert la soumission par la pratique du candaulisme. Même si je ne partage qu’une partie de leurs fantasmes, je reste admiratif de l’équilibre et de la complicité qu’ils ont su trouver de part cette relation particulière.

Leur histoire montre qu’il n’y a pas une relation D&S mais DES relations D&S et surtout que vivre ses fantasmes permet bien souvent d’atteindre un bel équilibre. Je souhaite à Philippe et Olga de continuer à nous faire partager encore longtemps leur bonheur, bonheur qui est largement exprimé dans les textes publiés sur leur très beau Blog de Philippe et Olga.

 

Introduction de Philippe et Olga

Nous avons été sollicités par "Petit soumis" pour publier nos histoires sur nos blogs respectifs, en insistant sur l'évolution progressive vers la soumission totale de Philippe au plaisir d'Olga. Nos approches sont différentes, notre histoire étant davantage fondée sur le candaulisme et celle de "Petit Soumis" sur une relation D/S, mais c'est bien volontiers que nous répondons à cette demande de "liens inter-blogs" et que nous accorderons la réciproque à "Petit soumis", en souhaitant d'ailleurs à ce très joli couple, un bonheur complet dans la réalisation de ses envies D/S et plus s'ils le souhaitent!

Notre récit est écrit à deux mains, le premier texte étant d'Olga, le second de Philippe. Il est l'histoire d'un couple classique, avec une jolie épouse fidèle mais insatisfaite. Ce couple a trouvé le bonheur une fois devenu candauliste. Vous trouverez sur notre blog toutes les explications sur le candaulisme. Retenez simplement que le candaulisme est une pratique sexuelle liée à l'excitation de voir son (sa) partenaire avoir des relations sexuelles avec une autre personne. Le candaulisme est caractérisé par un fantasme bien précis : voir son épouse faire l'amour avec une ou plusieurs personnes étrangères à son couple.

Nous nos présentons brièvement : le mari cocu, Philippe, 44 ans, amoureux fou de sa femme mais mauvais amant qui a réalisé son fantasme candauliste au delà de ses espérances. Son épouse Olga, 31 ans, ex-épouse sage sous qui sommeillait une putain qui assume pleinement sa transformation. Elle a trouvé le plaisir dans les bras des autres et ne peut plus s'en passer. Le plaisir de Philippe est de voir Olga jouir sans limites. Il est heureux quand le sperme coule de la chatte, du cul ou des lèvres d'Olga. Ce qu'il préfère : mater.

Philippe et Olga.

 

Comment Philippe a su me convaincre, raconté par Olga

C'est dans le cadre de mon travail que j'ai rencontré Philippe. Philippe a du charme, il me rassurait, il m'attirait aussi par la force des sentiments qu'il me portait. Nous avons fini par devenir amants. Ce qui a été surprenant, par rapport à la suite, c'est que sans être exceptionnel, il était à ce moment là un amant performant. Nous nous sommes mariés en 2003.


Philippe m'adore et fait tout pour moi. Mais, petit à petit, dans nos relations intimes, il ne m'apportait plus satisfaction. Souvent trop excité, il était victime d'éjaculation précoce. En plus il n'était pas très doué pour me donner du plaisir avec la langue.

J'ai tout essayé pour le mettre en confiance car je l'aime. J'étais obligée bien souvent de me "finir" en me masturbant ou en étant doigtée par Philippe.

J'étais profondément frustrée par cette situation. C'est Philippe qui, le premier, m'a proposé de prendre un amant. Ce que j'ai refusé alors avec indignation, voulant être fidèle à l'homme que j'aime.

A partir de ce jour, le scénario candauliste revint souvent dans nos ébats. Je pensais à ce moment là que le candaulisme était un fantasme de mon mari et qu'il permettait, d'une certaine manière, d'améliorer ses performances pour son devoir conjugal. Pour ma part, dans l'accomplissement de mon plaisir solitaire qui ne faisait qu'accroître ma frustration, j'avais de plus en plus recours à ce fantasme.

L'étape suivante a été ma tenue vestimentaire. J'avais toujours aimé, dès l'adolescence, m’habiller sexy et court. Mais Philippe poussa les choses encore plus loin. Il m'encourageait à porter les tenues les plus sexys, les plus osées. Les robes qu'il m'offrait devaient être courtes pour mettre en valeur mes jolies jambes et mes petites fesses, avoir des décolletés vertigineux, le dos nu. Il disait qu'il était fier de lire dans le regard des autres hommes le désir que je leur inspirais. J'ai fini par céder et je dois dire que je me suis prêtée au jeu. Le regard de désir des hommes, la barre qui déformait leur pantalon, la manière courroucée dont certaines femmes me dévisageaient, au départ tout cela m'a gênée, j'avais honte.

Et puis petit à petit, j'ai pris conscience de ma beauté. J'étais flattée et frustrée de cette situation.

Beaucoup de ses amis, de nos voisins, de ses collègues de travail, me draguaient ouvertement. Je ne donnais pas suite et repoussais ces avances, plus ou moins brutalement selon leur origine, mais sans laisser le moindre espoir.

Philippe tenait souvent des propos qui les encourageaient ouvertement, par exemple que j'étais totalement libre et qu'il ne verrait aucun obstacle à ce que je prenne des amants. Je passais à tort pour une allumeuse, le comportement de Philippe m'agaçait mais en même temps me troublait, m'excitait et me poussait au plaisir solitaire, imaginant des amants vigoureux me satisfaire. Je me disais que si mon mari le souhaitait, pourquoi ne pas lui faire plaisir. Et en même temps, ma morale, mon statut social me poussaient à persister dans mon refus. C'était une torture car j'étais très frustrée dans ma vie sexuelle, compte tenu des piètres performances de mon époux. J'ai compris par la suite que, dès ce moment, Philippe voulait s'humilier à mes yeux et ceux des autres.





Je voulais rester une épouse sage. Dans les réceptions, je n'étais pas dupe des baises main où l'homme se penchait bien, pas par déférence mais pour bien mater ma poitrine.

Philippe avait gagné cette première étape. Je ne rechignais plus à participer aux sorties et dans des tenues que l'on ne pouvait pas ne pas remarquer.


Pour autant, je continuais à refuser les avances. Je me suis faite coincer plusieurs fois par des types, lors de ces soirées, dans une pièce isolée, dans le jardin de la maison de l'organisateur et même aux toilettes. J'ai toujours réussi à les repousser, plus ou moins brutalement. Quelquefois, ça se terminait par une gifle et par des insultes, je me faisais traitée de putain et de petite allumeuse.



J'essayais de maintenir le fragile équilibre entre ma fidélité et cette exhibition, de ne pas céder aux tentations et aux invitations candaulistes de mon mari. Ma ligne de défense étant que ce n'est pas parce qu'une femme s'habille sexy, voire provocante, qu'elle doit être forcée.

Ma tête disait non quand mon corps disait oui, appelait le mâle, demandait des étreintes viriles. J'ai fait une ultime résistance à cette nature entre mars et juillet 2007, après le retour d'un voyage au Brésil. Là bas, je ne m'étais pas offerte une seule fois mais plusieurs fois à des inconnus, nous avions eu avec Philippe notre première expérience de candaulisme auditif puisque mon époux avait pu suivre en direct, sur le haut-parleur du téléphone, tout ce que ces deux inconnus faisaient à son épouse enfin adultère. Pour éviter toute tentation, je me privais de sorties, au grand dam de Philippe.

Le paradoxe apparent fut que mon adultère définitif et permanent a commencé, non dans une sortie mondaine, dans un dîner ou autre, mais à l'occasion d'un bref passage au supermarché du quartier. C'était là que m'attendait mon prédateur, Rachid et c'est dans mon immeuble même (et pour être plus précise dans l'ascenseur de mon immeuble, le concierge, complice de Rachid, ne perdant pas une miette des preuves auditives de ma capitulation) qu'il a remporté sa victoire éclaire et complète. J'ignorais à ce moment là que, en désespoir de me convaincre de continuer ce que j'avais commencé à Rio, Philippe avait fait appel à ce fauve pour obtenir ma capitulation. Il me l'a avoué plus tard et, alors que j'aurais du être furieuse d'être traitée ainsi, je n'en veux pas à Philippe. Sans cette initiative, je ne sais pas ce qui se serait passé. Soit je serai devenue folle à force de refuser ce que mon corps réclamait, soit j'aurai fini par prendre un amant "classique", un adultère mesquin, hors cadre candauliste. J'aurai divorcé et je n'aurai pas vécu tout ce que j'ai connu et que je ne regrette pas, oh que non!

Pour insister sur le thème de ce blog, dès mon premier adultère, l'humiliation du cocu a été au centre de mon plaisir. Philippe ayant voulu suivre en direct, par le haut-parleur du téléphone, son cocufiage, mes deux amants commentaient tout ce qu'ils me faisaient et moi j'insistais sur le plaisir que j'avais enfin et, dès cette première fois j'ai comparé les prestations de ces mâles aux piètres réalisations de mon mari.

L'attitude de mon mari, suite à ma rencontre avec Rachid, a été déterminante pour la suite des événements. Les choses étaient pourtant graves. Non seulement je l'avais fait cocu à nouveau, mais je l'avais publiquement bafoué, puisque le concierge nous avait vus, Rachid et moi, sortir de l'ascenseur, dans un état et une tenue qui ne laissaient aucune ambiguïté sur ce que nous venions de faire. Avant peu, tout l'immeuble serait au courant de mes frasques car je ne doutais pas que ce sale type se ferait un plaisir de répandre la nouvelle.


Rachid m'avait besogné dans le lit conjugal toute l'après-midi. Quand Philippe est rentré peu après le départ de Rachid. J'étais restée sur le lit, nue, portant sur mon corps et en moi les séquelles de mes ébats. il a commencé par recueillir dans ma chatte et sur mon corps le sperme de mon amant. Je lui tenais la tête, le traitant de cocu, de petit pédé.



J'ai tout raconté à Philippe et je dois dire que ce soir là, il m'a baisée comme il ne l'avait plus fait depuis longtemps. Certes comparée à la queue de celui qui était désormais mon mâle, le sexe de mon cocu était ridicule. Il avait du plaisir non de me baiser, mais de ce que je lui racontais, en omettant aucun détail, la chatte encore pleine des œuvres de Rachid.

Je me suis efforcée d'aller au fond des choses avec Philippe. J'ai donc relancé la discussion et j'ai été directe, alors qu'il était dans mes bras:

  • Chéri, j'ai découvert au cours de ces derniers mois un plaisir que je n'imaginais pas et dont je ne veux plus me passer. Mais que vas-tu faire? Je ne veux pas te perdre car je t'aime toujours.
  • Mon Olga, je t'aime plus fort que jamais, comme un fou. Je t'encourageais depuis des années à avoir des amants. Bien sûr ça m'excite énormément de t'imaginer, et, pourquoi pas, de te voir jouir sans retenue sous les assauts d'un homme. Mais avant tout, je t'aime et je te donne la plus grande des preuves d'amour. Tu ne me trompes pas, non seulement parce que je t'ai toujours dit que tu étais libre, que je suis d'accord et que je t'encourage. Je suis heureux que tu aies enfin le plaisir que tu mérites. Je veux que tu sois heureuse.
  • Tu te rends bien compte de la situation ? Je suis amoureuse de Rachid, je suis folle de lui, je suis désormais à lui. Il sera non seulement mon amant régulier mais il viendra ici et me fera l'amour à chaque fois qu'il le pourra et en aura envie. Il a exigé que je lui réserve ma chatte. Il me prendra sans préservatif. Pour le moment, je prends la pilule mais je lui ferais un enfant quand il le souhaitera. Toi, tu ne te videras plus en moi. Tu acceptes tout cela ? Tu n'es pas jaloux ?
  • J'accepte tout. Je n'ai qu'un souhait, celui de rester près de toi si tu m'acceptes.

 

Dès le début, Philippe se plaçait donc dans la position du cocu content et humilié.




Quelques semaines après le début de notre relation, Rachid a fini par répondre aux voeux de Philippe et a accepté de me prendre devant mon mari.





j'ai participé à tout cela et Philippe ne s'est pas opposé à une action systématique de démolition de notre réputation. Je ne me trouve pas d'excuses, sinon que j'étais folle amoureuse de Rachid, au point d'accepter que nous sortions dans la rue main dans la main, enlacés, que nous embrassions en public. Voilà pour l'humiliation "externe"   du cocu.



 


Dans les moments de candaulisme "visuel", en clair quand je me fais baiser devant Philippe, nos pratiquons souvent l'humiliation du mari trompé.

  • Regarde, femme, comme le cocu nous mate. Il est impressionné.
  • Par ta queue mon chéri, rien à voir avec son ridicule appendice
  • C'est meilleur qu'avec lui ?
  • Tu plaisantes ? C'était nul avec lui. Il n'est bon à rien, sauf à se branler en nous matant et quelquefois à t'offrir son cul pour que tu l'encules. C'est un pédé et un cocu.
  • Cocu, dis-nous à qui est Olga ?
  • A toi Rachid
  • Je peux tout faire avec elle ?
  • Oui tout
  • Et là que veux tu que je lui fasse ?
  • Que tu la baises et ensuite que tu lui casses le cul
  • Fais-moi plaisir, que penses-tu d'Olga ?
  • Que c'est une salope, une chienne, une catin et que je suis son cocu
  • Tu sais qu'elle m'aime et que je l'engrosserai bientôt ?
  • Oui, tu me laisseras mater ?
  • Si tu es sage. Regarde comme elle m'embrasse, tu n'existes plus pour elle. Elle est folle de moi! Dans un instant elle va couiner, hurler de plaisir.


En fait, c'était un scénario convenu entre nous. La première fois que ça s'était produit, je m'étais excusée et Philippe m'avait dit:

  • Ne t'excuse pas chérie. Ca me plait beaucoup. Soyez plus durs avec moi. Ca m'excite.

 

Philippe est un vrai candauliste qui ne connait pas la jalousie. Il est convaincu que l'égalité entre homme et femme passe par une liberté réciproque dans l'amour et le choix des partenaires. Il a accepté qu'un autre se comporte en privé et en public comme le vrai mari, le remplace dans le lit conjugal, remplisse le devoir conjugal, se réserve seul le droit de jouir dans ma chatte, finisse par me féconder. On peut me dire que Rachid ne m'aimait pas et se servait de moi et donc qu'avec lui, Philippe ne risquait pas de me perdre.

C'est très différent avec Hassan, mon "mâle " actuel, qui se revendique comme mon mari. Hassan est mon homme mais je ne veux pas me séparer de Philippe. Pourquoi ? Certains diront qu'il a à peine les attributs légaux de l'époux, que je ne suis plus à lui, que notre mariage n'est plus qu'une fiction. Mon plaisir, mon bonheur ne seraient pas identiques, sans sa présence, sans son regard amoureux et excité sur moi quand je fais l'amour devant lui. La communion du plaisir passe par ces échanges de regards lors de l'acte ou par des "aveux physiques" lors de leur intimité retrouvée.

Oui les choses ont été beaucoup plus loin que Philippe ne les imaginait au départ. Il voulait que je prenne un amant, des amants, pouvoir mater. Me voir devenir bisexuelle l'avait réjouit. Oui, je pouvais pratiquer sans restriction adultère, fellation, sodomie, doigtage, gode et même fist. Il voulait me voir dans des partouzes et des gang-bang. Mais nous ne pouvions imaginer les milliers de rapports, les centaines d'amants qui ont "déshonoré" mon mari depuis deux ans. Il ne pensait pas que je tomberais amoureuse de certains de mes amants (et de mes maîtresses), que je serais par moments sous la coupe de la redoutable Marie, que Rachid se vengerait sur nous de sa haine de la bourgeoisie de sa ville. Il ne voulait pas, mais n'a pas su empêcher, certaines dérives.

 



Nous ne pensions pas que cela m'amènerait à concevoir un enfant hors mariage. Là encore, l'amour de Philippe est sans limites. Il l'a accepté tout de suite, il a assisté à la conception. Philippe a raison, cet enfant est le sien, il n'aurait jamais été conçu sans notre aventure candauliste.

Et pourtant Philipe est toujours à mes côtés, alors qu'il aurait du me perdre. Je n'ai jamais voulu, même en étant amoureuse d'un autre, reconstruire avec un autre le lien exclusif que Philippe m'avait tant invitée à transgresser. J'ai toujours refusé le divorce. Pas seulement parce que la présence de Philippe, lors de mes ébats, son regard, son humiliation, m'excite tout particulièrement. La récompense de Philippe, c'est le plaisir qu'il lit dans mes yeux quand je me fais prendre devant lui.

Rien ne pourra nous séparer, dans l'équilibre très particulier que nous avons trouvé.

Olga

 

La vision de Philippe

L'amour est la condition primordiale aux plaisirs et à la réalisation du Candaulisme. Contrairement à l'échangisme et au triolisme, il n'est pas question pour le couple de partager avec d'autres leur fantasme ou leur plaisir. Leur démarche est égoïste, une recherche de l'absolu, il s'agit d'abord du plaisir des deux uniquement. Même si, pour le réaliser, ils doivent obligatoirement avoir la présence d'un tiers. Pour revenir à Olga et à moi, personne ne peut nier mon amour absolu, aveugle, pour Olga.

Oui, je suis soumis et humilié car je n'ai plus que le titre de mari. Seuls les mâles successifs, Rachid puis Hassan, ont désormais le droit de se vider dans sa chatte et Rachid l'a fécondée. Et même le titre de mari m'est de fait contesté aujourd'hui par Hassan.

Mais j'ai accepté ce que d'autres prendraient pour une humiliation car, pour moi, l'essentiel est qu'Olga jouisse, qu'elle ait du plaisir, qu'elle soit heureuse.

Oui, j'aime ses "oh oui, vas y mon amour, oui comme ça plus fort oui, bien à fond", ses gémissements, ses plaintes de plaisir, qui deviennent des cris, des hurlements.

Ca tourne quelquefois à l'humiliation quand l'amant lui demande si "c'est meilleur qu'avec ton cocu", qu'elle répond "évidemment" et qu'ils échangent des paroles d'amour, sans se soucier de ma présence.

Oui Olga et moi sommes un couple fusionnel, ce qui explique que nous sommes toujours ensemble et qu'elle n'a toujours refusé qu'une seule chose, que j'étais tout prêt à accorder si elle l'avait demandé : le divorce.

Pour Olga, son plaisir, son bonheur ne serait pas identique, sans ma présence, sans mon regard amoureux et excité sur elle quand elle fait l'amour devant moi. La communion du plaisir passe par ces échanges de regards lors de l'acte ou par des "aveux physiques" lors de leur intimité retrouvée.

On peut être cocu sans le savoir. La principale caractéristique du candauliste est qu'il est un cocu qui sait, qui ne considère pas ce qu'il lui arrive comme une infortune, comme une disgrâce ou comme une honte. Il est un cocu qui non seulement sait ce qu'il lui arrive mais qui l'a voulu, qui a tout fait parvenir à ce résultat et qui en tire un grand plaisir.

 

Alors oui le bonheur du mari candauliste que je suis est de voir Olga baisée encore et encore, jusqu'à ce que les deux amants s'effondrent, en particulier quand Rachid ou Hassan lui inondaient le vagin de leur semence abondante. Je ne m'en lasse pas, même si je suis dominé, bafoué, humilié aux yeux des autres et de l'amant.

Quelquefois, j'ai droit d'embrasser ou de caresser Olga pendant qu'elle se fait prendre. Mais mon vrai plaisir de candauliste est d'assister, je jouis sans même me toucher. Nous pratiquons surtout, à mon grand bonheur, le candaulisme visuel et je ne m'en lasse d'autant moins que Rachid, puis Hassan n'ont cessé de varier les situations en offrant ma femme à d'autres.

Oui les choses ont été beaucoup plus loin que je les imaginais au départ. Je voulais que mon épouse prenne un amant, des amants, que je puisse mater. La voir devenir gouine m'a réjouit. Je voulais aussi qu'elle pratique sans restriction adultère, fellation, sodomie, doigtage, gode et même fist.

Oui je voulais voir Olga dans des partouzes et des gang bang. Je ne pouvais rêver aux milliers de rapports, aux centaines d'amants qui m'ont "déshonoré" depuis deux ans. Et bien j'espère, si Olga le veut, qu'il y en aura encore beaucoup d'autres.

Il y a deux ans, elle était une épouse honorable, la femme de Monsieur Philippe T, un notable. Elle était fidèle mais en même temps profondément frustrée, hautaine, méprisante, malheureuse. Aujourd'hui, femme adultère, elle passe aux yeux de beaucoup pour une salope, une putain. Elle est heureuse, c'est tout ce qui compte pour moi !

Philippe

 

Rachid a pris ensuite des initiatives avec pour but ou conséquence d'humilier le mari cocu, le bafouer aux yeux des voisins, des connaissances, des amis, des relations sociales et des collègues de travail. C'est Rachid qui a eu l'idée de m'offrir à des collègues de travail de Philippe et que les choses se passent sur son lieu de travail.

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