Comme promis, voici la suite de l'histoire de
    Philippe et Olga. L'histoire complète est également accessible sur la page des blogs
    amis. 
    
    La Soumission par l’humiliation voulue du cocu
  
  
    
  
  
    Pour insister sur le thème de ce blog, dès mon premier adultère, l'humiliation du cocu a été au centre de mon plaisir. Philippe ayant
    voulu suivre en direct, par le haut-parleur du téléphone, son cocufiage, mes deux amants commentaient tout ce qu'ils me faisaient et moi j'insistais sur le plaisir que j'avais enfin et, dès cette
    première fois j'ai comparé les prestations de ces mâles aux piètres réalisations de mon mari.
  
  
     
  
  
    L'attitude de mon mari, suite à ma rencontre avec Rachid, a été déterminante pour la suite des événements. Les choses étaient pourtant
    graves. Non seulement je l'avais fait cocu à nouveau, mais je l'avais publiquement bafoué, puisque le concierge nous avait vus, Rachid et moi, sortir de l'ascenseur, dans un état et une tenue qui
    ne laissaient aucune ambiguïté sur ce que nous venions de faire. Avant peu, tout l'immeuble serait au courant de mes frasques car je ne doutais pas que ce sale type se ferait un plaisir de
    répandre la nouvelle.
  
  
    
    Rachid m'avait besogné dans le lit conjugal toute l'après-midi. Quand Philippe est rentré peu après le départ de Rachid. J'étais restée sur le lit, nue, portant sur mon corps et en moi les
    séquelles de mes ébats. il a commencé par recueillir dans ma chatte et sur mon corps le sperme de mon amant. Je lui tenais la tête, le traitant de cocu, de petit pédé.
  
  
     
  
  
    
    
    J'ai tout raconté à Philippe et je dois dire que ce soir là, il m'a baisée comme il ne l'avait plus fait depuis longtemps. Certes comparée à la queue de celui qui était désormais mon mâle, le
    sexe de mon cocu était ridicule. Il avait du plaisir non de me baiser, mais de ce que je lui racontais, en omettant aucun détail, la chatte encore pleine des œuvres de Rachid.
  
  
    Je me suis efforcée d'aller au fond des choses avec Philippe. J'ai donc relancé la discussion et j'ai été directe, alors qu'il était
    dans mes bras:
  
  
    - 
      
        Chéri, j'ai découvert au cours de ces derniers mois un plaisir que je n'imaginais
        pas et dont je ne veux plus me passer. Mais que vas-tu faire? Je ne veux pas te perdre car je t'aime toujours.
      
     
    - 
      
        Mon Olga, je t'aime plus fort que jamais, comme un fou. Je t'encourageais depuis des années à avoir des amants. Bien sûr ça m'excite
        énormément de t'imaginer, et, pourquoi pas, de te voir jouir sans retenue sous les assauts d'un homme. Mais avant tout, je t'aime et je te donne la plus grande des preuves d'amour. Tu ne me
        trompes pas, non seulement parce que je t'ai toujours dit que tu étais libre, que je suis d'accord et que je t'encourage. Je suis heureux que tu aies enfin le plaisir que tu mérites. Je veux
        que tu sois heureuse.
      
     
    - 
      
        Tu te rends bien compte de la situation ? Je suis amoureuse de Rachid, je suis folle de lui, je suis désormais à lui. Il sera
        non seulement mon amant régulier mais il viendra ici et me fera l'amour à chaque fois qu'il le pourra et en aura envie. Il a exigé que je lui réserve ma chatte. Il me prendra sans
        préservatif. Pour le moment, je prends la pilule mais je lui ferais un enfant quand il le souhaitera. Toi, tu ne te videras plus en moi. Tu acceptes tout cela ? Tu n'es pas
        jaloux ?
      
     
    - 
      
        J'accepte tout. Je n'ai qu'un souhait, celui de rester près de toi si tu m'acceptes.
      
     
  
  
     
  
  
    Dès le début, Philippe se plaçait donc dans la position du cocu content et
    humilié.
  
  
    
    
    
    Quelques semaines après le début de notre relation, Rachid a fini par répondre aux voeux de Philippe et a accepté de me prendre devant mon mari.
  
  
     
  
  
    
    
    j'ai participé à tout cela et Philippe ne s'est pas opposé à une action systématique de démolition de notre réputation. Je ne me trouve pas d'excuses, sinon que j'étais folle amoureuse de Rachid,
    au point d'accepter que nous sortions dans la rue main dans la main, enlacés, que nous embrassions en public. Voilà pour l'humiliation "externe"   du cocu.
  
  
    Rachid a pris ensuite des initiatives avec pour but ou conséquence d'humilier le
    mari cocu, le bafouer aux yeux des voisins, des connaissances, des amis, des relations sociales et des collègues de travail. C'est Rachid qui a eu l'idée de m'offrir à des collègues de travail de
    Philippe et que les choses se passent sur son lieu de travail.
  
  
     
  
  
    
    
  
  
    Dans les moments de candaulisme "visuel", en clair quand je me fais baiser
    devant Philippe, nos pratiquons souvent l'humiliation du mari trompé.
    
  
  
    ·             Regarde, femme, comme le cocu nous mate. Il est impressionné.
  
  
    ·             Par ta queue mon chéri, rien à voir avec son ridicule
    appendice
  
  
    ·             C'est meilleur qu'avec lui ?
  
  
    ·             Tu plaisantes ? C'était nul avec lui. Il n'est bon à
    rien, sauf à se branler en nous matant et quelquefois à t'offrir son cul pour que tu l'encules. C'est un pédé et un cocu.
  
  
    ·             Cocu, dis-nous à qui est Olga ?
  
  
    ·             A toi Rachid
  
  
    ·             Je peux tout faire
    avec elle ?
  
  
    ·             Oui tout
  
  
    ·             Et là que veux tu
    que je lui fasse ?
  
  
    ·             Que tu la baises
    et ensuite que tu lui casses le cul
  
  
    ·             Fais-moi plaisir,
    que penses-tu d'Olga ?
  
  
    ·             Que c'est une
    salope, une chienne, une catin et que je suis son cocu
  
  
    ·             Tu sais qu'elle
    m'aime et que je l'engrosserai bientôt ?
  
  
    ·             Oui, tu me
    laisseras mater ?
  
  
    ·             Si tu es sage.
    Regarde comme elle m'embrasse, tu n'existes plus pour elle. Elle est folle de moi! Dans un instant elle va couiner, hurler de plaisir.
  
  
     
  
  
    En fait, c'était un scénario convenu entre nous. La première fois que ça s'était produit, je m'étais excusée et Philippe m'avait dit:
  
  
    ·             Ne t'excuse pas chérie. Ca me plait beaucoup. Soyez plus
    durs avec moi. Ca m'excite.
  
  
    
    
  
  
    
Philippe est un vrai candauliste qui ne connait pas la jalousie. Il est
    convaincu que l'égalité entre homme et femme passe par une liberté réciproque dans l'amour et le choix des partenaires. Il a accepté qu'un autre se comporte en privé et en public comme le vrai
    mari, le remplace dans le lit conjugal, remplisse le devoir conjugal, se réserve seul le droit de jouir dans ma chatte, finisse par me féconder. On peut me dire que Rachid ne m'aimait pas et se
    servait de moi et donc qu'avec lui, Philippe ne risquait pas de me perdre.
  
  
    
C'est très différent avec Hassan, mon "mâle " actuel, qui se revendique
    comme mon mari. Hassan est mon homme mais je ne veux pas me séparer de Philippe. Pourquoi ? Certains diront qu'il a à peine les attributs légaux de l'époux, que je ne suis plus à lui, que
    notre mariage n'est plus qu'une fiction. Mon plaisir, mon bonheur ne seraient pas identiques, sans sa présence, sans son regard amoureux et excité sur moi quand je fais l'amour devant lui. La
    communion du plaisir passe par ces échanges de regards lors de l'acte ou par des "aveux physiques" lors de leur intimité retrouvée.
  
  
     
  
  
    Oui les choses ont été beaucoup plus loin que Philippe ne les imaginait au
    départ. Il voulait que je prenne un amant, des amants, pouvoir mater. Me voir devenir bisexuelle l'avait réjouit. Oui, je pouvais pratiquer sans restriction adultère, fellation, sodomie,
    doigtage, gode et même fist. Il voulait me voir dans des partouzes et des gang-bang. Mais nous ne pouvions imaginer les milliers de rapports, les centaines d'amants qui ont "déshonoré" mon mari
    depuis deux ans. Il ne pensait pas que je tomberais amoureuse de certains de mes amants (et de mes maîtresses), que je serais par moments sous la coupe de la redoutable Marie, que Rachid se
    vengerait sur nous de sa haine de la bourgeoisie de sa ville. Il ne voulait pas, mais n'a pas su empêcher, certaines dérives.
  
  
     
  
  
    
  
  
    
    
  
  
    Nous ne pensions pas que cela m'amènerait à concevoir un enfant hors mariage. Là
    encore, l'amour de Philippe est sans limites. Il l'a accepté tout de suite, il a assisté à la conception. Philippe a raison, cet enfant est le sien, il n'aurait jamais été conçu sans notre
    aventure candauliste.
  
  
    Et pourtant Philipe est toujours à mes côtés, alors qu'il aurait du me perdre.
    Je n'ai jamais voulu, même en étant amoureuse d'un autre, reconstruire avec un autre le lien exclusif que Philippe m'avait tant invitée à transgresser. J'ai toujours refusé le divorce. Pas
    seulement parce que la présence de Philippe, lors de mes ébats, son regard, son humiliation, m'excite tout particulièrement. La récompense de Philippe, c'est le plaisir qu'il lit dans mes yeux
    quand je me fais prendre devant lui.
  
  
    Rien ne pourra nous séparer, dans l'équilibre très particulier que nous avons
    trouvé.
  
  
    Olga
  
  
     
  
  
    La vision de Philippe
  
  
    L'amour est la condition primordiale aux plaisirs et à la réalisation du
    Candaulisme. Contrairement à l'échangisme et au triolisme, il n'est pas question pour le couple de partager avec d'autres leur fantasme ou leur plaisir. Leur démarche est égoïste, une recherche
    de l'absolu, il s'agit d'abord du plaisir des deux uniquement. Même si, pour le réaliser, ils doivent obligatoirement avoir la présence d'un tiers. Pour revenir à Olga et à moi, personne ne peut
    nier mon amour absolu, aveugle, pour Olga.
  
  
    Oui, je suis soumis et humilié car je n'ai plus que le titre de mari. Seuls les
    mâles successifs, Rachid puis Hassan, ont désormais le droit de se vider dans sa chatte et Rachid l'a fécondée. Et même le titre de mari m'est de fait contesté aujourd'hui par
    Hassan.
  
  
    
Mais j'ai accepté ce que d'autres prendraient pour une humiliation car, pour
    moi, l'essentiel est qu'Olga jouisse, qu'elle ait du plaisir, qu'elle soit heureuse.
  
  
     
  
  
    Oui, j'aime ses "oh oui, vas y mon amour, oui comme ça plus fort oui, bien à
    fond", ses gémissements, ses plaintes de plaisir, qui deviennent des cris, des hurlements.
  
  
    Ca tourne quelquefois à l'humiliation quand l'amant lui demande si "c'est
    meilleur qu'avec ton cocu", qu'elle répond "évidemment" et qu'ils échangent des paroles d'amour, sans se soucier de ma présence.
  
  
    Oui Olga et moi sommes un couple fusionnel, ce qui explique que nous sommes
    toujours ensemble et qu'elle n'a toujours refusé qu'une seule chose, que j'étais tout prêt à accorder si elle l'avait demandé : le divorce.
  
  
    Pour Olga, son plaisir, son bonheur ne serait pas identique, sans ma présence,
    sans mon regard amoureux et excité sur elle quand elle fait l'amour devant moi. La communion du plaisir passe par ces échanges de regards lors de l'acte ou par des "aveux physiques" lors de leur
    intimité retrouvée.
  
  
    
    On peut être cocu sans le savoir. La principale caractéristique du candauliste est qu'il est un cocu qui sait, qui ne considère pas ce qu'il lui arrive comme une infortune, comme une disgrâce ou
    comme une honte. Il est un cocu qui non seulement sait ce qu'il lui arrive mais qui l'a voulu, qui a tout fait parvenir à ce résultat et qui en tire un grand plaisir.
  
  
     
  
  
     Alors oui le bonheur du mari candauliste que je suis est de voir Olga
    baisée encore et encore, jusqu'à ce que les deux amants s'effondrent, en particulier quand Rachid ou Hassan lui inondaient le vagin de leur semence abondante. Je ne m'en lasse pas, même si je
    suis dominé, bafoué, humilié aux yeux des autres et de l'amant.
  
  
    Quelquefois, j'ai droit d'embrasser ou de caresser Olga pendant qu'elle se fait
    prendre. Mais mon vrai plaisir de candauliste est d'assister, je jouis sans même me toucher. Nous pratiquons surtout, à mon grand bonheur, le candaulisme visuel et je ne m'en lasse d'autant moins
    que Rachid, puis Hassan n'ont cessé de varier les situations en offrant ma femme à d'autres.
  
  
    Oui les choses ont été beaucoup plus loin que je les imaginais au départ. Je
    voulais que mon épouse prenne un amant, des amants, que je puisse mater. La voir devenir gouine m'a réjouit. Je voulais aussi qu'elle pratique sans restriction adultère, fellation, sodomie,
    doigtage, gode et même fist.
  
  
    Oui je voulais voir Olga dans des partouzes et des gang bang. Je ne pouvais
    rêver aux milliers de rapports, aux centaines d'amants qui m'ont "déshonoré" depuis deux ans. Et bien j'espère, si Olga le veut, qu'il y en aura encore beaucoup d'autres.
  
  
    Il y a deux ans, elle était une épouse honorable, la femme de Monsieur Philippe
    T, un notable. Elle était fidèle mais en même temps profondément frustrée, hautaine, méprisante, malheureuse. Aujourd'hui, femme adultère, elle passe aux yeux de beaucoup pour une salope, une
    putain. Elle est heureuse, c'est tout ce qui compte pour moi !
  
  
    Philippe
  
		
	 
		
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