Mon petit soumis

Nous sommes toujours en train de discuter sur le devenir de notre relation D/s. Ma femme ne sait pas encore si elle a envie de continuer ou d’arrêter. De temps en temps, elle m’appelle mon petit soumis mais sans forcément se comporter en Maitresse. Certains cotés lui plaisent beaucoup comme la tendresse ou les petites attentions. Mais d’autres cotés la gène encore comme le BDSM même très soft ou le fait de devoir diriger constamment. Elle voudrait presque avoir le beurre et l'argent du beurre. Etre déesse sans etre Maitresse. Mais c'est un autre débat.

Moi de mon coté, j’aimerais bien de temps en temps des séances BDSM mais je n’en fais pas une obligation, juste un souhait. Je pense qu'elle a du mal à sauter le pas. Peut être que c'est le premier pas, le plus difficile à faire. On verra bien. Mais après tout, ce n'est pas très important car comme vous pourrez le voir, notre vie est loin d'être triste et monotone.

Nous nous orientons plutôt vers une relation D/s épisodique avec des moments où elle dominerait, d’autres où je la dirigerais sexuellement et le reste du temps où nous serions « égaux ». Enfin, rien n’est encore fixé pour l’instant. On verra bien.

La mise en pratique

Hier, nous étions en train de discuter et elle me faisait part du fait qu’elle aimerait des fois être dirigée sexuellement. Je l’ai prise au mot malgré l’heure tardive. En fait, pour être franc, il était presque l’heure que j’aille me coucher. Je lui ai dit « et si je te disais de me sucer la maintenant, tu le ferais ? ». Je me suis mis sur le canapé et je lui ai demandé de me sucer. Ce qu’elle a fait en me regardant dans les yeux de son regard lubrique. Après avoir enlevé sa petite culotte, je me suis mis à lui caresser la chatte du bout des doigts pendant qu’elle me suçait. Elle était déjà bien humide car la situation complètement imprévue commençait à lui faire de l’effet.

Je lui ai demandé ensuite de se mettre debout devant moi, mains derrière le cou et je me suis mis à lui caresser la chatte tout en lui disant que vu l’heure, elle ne jouirait sans doute pas ce soir. Après ces préliminaires rapides, je me suis positionné derrière elle et j’ai pointé mon sexe à l’entré de sa chatte.

J’ai commencé par baiser sa chatte tout en lui disant des mots crus. J’emploi ce terme de baiser car hier, c’était bien de ça qu’il s’agissait et je dois dire que ma femme a beaucoup appréciée être baisé comme ça à l’improviste. Quand mon sexe a été assez lubrifié de sa mouille, je me suis positionné à l’entré de son petit trou pour l’enculer. Elle adore que je l’encule. Il faut y aller progressivement au début car même si je dirigeais, il n’était pas question de lui faire mal. Seul le plaisir devait être au rendez vous. J’allais et venais dans son cul, sortant de temps en temps pour mieux y entrer à nouveau. Je l’enculais tout en lui tenant les hanches fermement. J'aime beaucoup son petit cul et je dois dire que j'ai de la chance car elle adore que je m'en occupe.

Elle n’a pas été longue à jouir. Lorsque je l’encule, ma femme jouis intensément, peut être même plus intensément que si je la prend par la chatte. Après avoir jouis, elle n’aime pas que je continue à l’enculer. Je me suis donc enfoncé dans sa chatte en étant toujours derrière elle qui se tenait debout, les mains sur le canapé. Après quelques minutes, j’ai jouis à mon tour.

Ce n’était pas prévu mais nous avons beaucoup apprécié tous les deux ce petit moment. Nous n’avons pas eu beaucoup de temps pour échanger de la tendresse après car il était déjà tard et je devais aller au lit pour ne pas être trop fatigué le lendemain matin.

Nous semblons nous éloigner du concept de ce blog. Il n’en est rien car si je me montre dominant depuis quelques jours, je le fais pour combler les désirs de ma femme.

Au retour de la douche, maitresse était allongée sur le lit et elle m’a demandé de lui mettre de la crème adoucissante sur ses jambes. J’allais le faire lorsqu’elle m’a dit « mets-toi nu !!! ». J’adore ce moment où nous sommes tous les deux nus sur le lit. Mon cerveau s’emballe et je me mets à imaginer ce qui pourrait arriver.

Bien que je sache que rien ne pourrait se passer, je ne peux m’empêcher de penser que j’aurais l’occasion de donner du plaisir à ma Maitresse et j’adore cette pensée. Ma maitresse gère si bien mes jouissances et mon plaisir qu’à aucun moment je pense à mon plaisir. Le fait de ne plus penser à mon plaisir me plait par-dessus tout car je considère que l’amour c’est le don de soi. Le comportement de ma Maitresse me permet de le mettre en pratique.

Un pied divinement placé

Je commençais à passer la crème sur les jambes de maitresse. J’étais à genoux sur le lit en face d’elle. Elle avait une jambe allongée, l’autre étant à moitié pliée sur le lit pour me faciliter la tache.  Elle a alors posé son pied nu sur ma queue au lieu de le laisser sur le lit. C’était très excitant pour moi. Elle, elle avait un regard lubrique que j’adore tout en cherchant à savoir si son action était agréable ou pas pour son petit soumis. Elle est toujours à mon écoute. C’est sa conception de l’amour, une conception qui me plait énormément.

J’aime beaucoup lorsqu’elle pose son pied sur ma queue car je la vois vraiment Maitresse, sure d’elle. Je sens son pouvoir sur ma queue bien dure. C’est un plaisir très mental mais non moins agréable.

Après avoir passé de la crème sur les deux jambes, Maitresse s’est retournée afin que je m’occupe de son dos. Elle appréciait l’action de mes doigts le long de sa colonne vertébrale, massant délicatement son cou ou pétrissant légèrement la peau du dos. C’était très agréable pour moi aussi comme pouvait en témoigner ma queue fièrement dressée vers Maitresse.

Elle s’est retournée à nouveau pour que je lui passe de la crème sur les seins et sur le ventre. Je pétrissais délicatement ses seins faisant rouler ses tétons entre mes doigts. Elle appréciait de plus en plus mes caresses d’autant que nous échangions de temps à autres des baisers passionnés. De son coté, Maitresse avait pris ma queue entre ses mains et me branlait tout en me questionnant : « tu aimes que ta Maitresse te branle ? ». J’adore lorsqu’elle utilise ce genre de dialogue. Ca m’échauffe beaucoup

La fellation

Après quelques minutes, elle s’est redressée et a entreprit une fellation sans cesser de me branler. Je sentais sa bouche chaude parcourir mon gland. C’était divin. Je suis conscient que le fait que Maitresse me suce est un énorme privilège et que peu de Maitresses le font. De part nos rôles respectifs, ma femme pourrait très bien ne plus me sucer et je n’aurais rien à dire à cela. C’est pourquoi, je n’en fait jamais la demande même si j’apprécie énormément. Maitresse décide et même pour effectuer une fellation, la décision ne peut que venir d’elle. Elle reste donc Maitresse à mes yeux en offrant à son petit soumis ce plaisir.

Est-ce une récompense pour m’être montré bien soumis ou un signe pour m’encourager à le devenir ?
Je ne le sais pas. J’essayerai de me montrer digne du cadeau que me fait Maitresse en progressant et en me montrant attentif à ses désirs.

Une demande qui dépasse mes attentes

Pendant que Maitresse me suçait, je me suis risqué à lui faire une demande particulière. Je lui ai demandé de me masser l’anus en même temps. Je pensais qu’elle se contenterait de me masser l’anus. Mais pour mon plus grand plaisir, Maitresse a dépassé mes attentes.

Elle m’a demandé de lui attraper du gel et après m’avoir enduit l’anus, Maitresse m’a mis un doigt dans mon petit trou. Elle le faisait bouger tout en me suçant, tournant parfois son doigt dans mon anus. J’ai découvert une nouvelle zone érogène, une zone de plaisir.

Il faut savoir dépasser ses tabous, dépasser ses inhibitions pour apprécier tous les plaisirs de la vie. Après tout la vie est trop courte pour ne pas au moins essayer. Je ne pense pas être moins homme parce que je me suis fait « enculer » d’un doigt par ma femme. Je ne pense pas être devenu « homo » parce que je réclame ce type de plaisir. Je ne pense pas être moins viril parce que ma femme a fait ce qu’habituellement une femme subit.

J’espère que cette première expérience sera suivie de plein d’autres. Par contre, j’aimerais que Maitresse en prenne l’initiative la prochaine fois de façon à ce qu’elle le fasse lorsqu’elle l’aura décidé et non lorsque son soumis le souhaitera. Cela me permettra aussi de ne pas abuser, de ne pas lui réclamer constamment des séances BDSM qui pourraient bloquer son plaisir. En effet, si c’est moi qui lui demande, cela peut la désexciter alors que si elle décide de le faire, c’est une situation qui pourrait l’exciter. Cela me permet aussi de me consacrer à son plaisir sachant qu’elle gère de A à Z le mien.

J’aimerais qu’elle me prépare progressivement, m’assouplisse l’anus, face en sorte que mon petit trou soit moins serré. J’aimerais qu’elle me fasse gouter un jour à une pénétration avec un gode-ceinture. Je ne suis pas pressé car la aussi, nous évoluerons à son rythme, faisant des pauses lorsqu’elle l’aura décidé, accélérant si elle le souhaite.

Aux dires de Maitresse, j’ai l’anus très serré et pour envisager autre chose qu’un doigt, il y a du travail. Lorsque je parlais des plaisirs que pouvait m’apprendre Maitresse (voir article « Le début de notre relation D&S vu par Maitresse »), je pensais à ce type de plaisir. Aujourd’hui Maitresse m’a appris à apprécier son doigt dans mon petit trou.

Je note au passage que j’ai beaucoup de chance car j’ai une femme qui accède beaucoup à mes désirs, qui me fait plaisir et qui trouve plaisir à tester de nouvelles choses. Cela me donne encore plus envie de lui faire plaisir, de suivre ses désirs et de la voir s’épanouir encore plus qu’elle ne l’est aujourd’hui. Vivement la suite !!!

Demain, je vous raconterais comment je me suis occupé de Maitresse après cette mise en bouche.

Le massage

Après la punition racontée hier, Maitresse m’a demandé d’aller m’allonger sur le lit. Elle a alors pris l’huile de massage et a commencé à caresser mes fesses avec ses doigts pour adoucir la punition. Après la punition, après la faute payée, tout est oublié et elle redevient une femme câline. J’aime les deux cotés de sa nouvelle personnalité : la maitresse sévère qui punit et la femme douce qui câline. Cela ne signifie pas que nous ne ferons pas de BDSM par la suite mais cela marque la fin de l’étape « punition » et j’apprécie beaucoup.

A chaque passage sur les fesses, je mettais mon cul en avant me disant qu’elle glisserait bien un doigt sur mon anus pour essayer, pour me tester mais rien ne s’est produit. Je ne lui ai rien demandé car si j’aimerais bien qu’elle le fasse, je souhaiterais qu’elle me surprenne et le fasse au moment qu’elle choisira.

Maitresse m’a aussi massé le dos et les épaules. Je fermais les yeux tellement c’était agréable. Après ca, Maitresse m’a demandé de m’allonger sur le ventre. Elle massait mes pectoraux et frôlant de temps en temps ma queue mais en faisant bien attention de me faire languir de longues minutes. Après de longues minutes de ce traitement, Maitresse a pris ma queue dans sa main et a commencé à me branler comme si elle souhaitait me faire jouir. De temps à autre, elle prenait possession de ma bouche pour un baiser passionné en utilisant sa langue pour jouer avec la mienne. C’était extrêmement agréable d’autant plus que ma dernière jouissance avait eu lieu 20 jours auparavant. Mon excitation était à son comble. J’étais chaud bouillant comme de la braise.

Jouissance de maitresse

Après m’avoir bien excité, Maitresse m’a demandé de la caresser. Mes doigts ont parcourus l’intégralité de son corps, caressant ses jolis petits petons, effleurant ses seins, longeant son échine, s’attardant sur l’intérieur de ses cuisses. Tant et si bien qu’elle a écarté les cuisses et a commencée à se caresser la chatte pendant que je la caressais. Elle m’a alors dit « viens lécher ta Maitresse ». J’adore ce moment où chaude comme de la braise, elle me demande de lui faire un cunnilingus. Désormais, je sais qu’elle est capable de jouir avec ma langue, qu’elle peut s’en contenter alors lorsqu’elle me demande de la lécher, je ne sais plus s’il s’agira d’un début ou d’une fin en soit.

Je l’ai longuement léchée avec tendresse, cherchant à la faire jouir. Maitresse m’avouera par la suite qu’elle a été à deux doigts de jouir de ma langue. Cependant, elle souhaitait m’offrir un petit plaisir. Elle souhaitait réaliser un des fantasmes que j’ai récemment décrit. Maitresse m’a demandé de m’allonger sur le dos et elle est venue sur moi me chevauchant. J’ai trouvé ça super agréable. J’étais à sa merci et je me contentais d’apprécier les sensations qu’elle me faisait vivre. Malheureusement, lorsqu’elle s’approche trop prêt de la jouissance, si celle-ci lui échappe, il lui faut un certain temps pour arriver à jouir.

La position étant fatigante pour Maitresse, elle m’a demandé de la prendre en levrette. Cette position est très délicate pour moi car je contrôle les aller / retour de ma queue dans la merveille chatte de Maitresse. Les sensations sont exquises. Je dois redoubler d’effort pour amener ma Maitresse à la jouissance sans jouir moi-même. Pendant que je prenais Maitresse, j’essayais de m’interdire de jouir. Je ne sais pas si mon pseudo blocage mental a été efficace ou s’il s’agit d’autre chose mais le résultat a été efficace car j’ai réussi à ne pas jouir. Nous avons changé de position une nouvelle fois car nous nous sommes retrouvé en missionnaire l’un contre l’autre. J’ai cependant évité de trop embrasser maitresse sur la bouche, préférant lui lécher les tétons pendant que je la prenais.

Après quelques minutes, maitresse m’a demandé de la lécher à nouveau, ce que j’ai fait jusqu’à sa jouissance. Je considérais cette jouissance comme un merveilleux cadeau car j’éprouve un sentiment de fierté à donner à ma Maitresse sa jouissance avec ma langue. Il s’agit d’un cadeau car il n’y a aucun risque que je jouisse et je peux mieux savourer sa jouissance.

tendresse

Après la jouissance de Maitresse, nos ébats ayant duré assez longtemps, nous nous sommes enlacés tendrement. C’est quelque chose que j’apprécie beaucoup, beaucoup plus lorsque je n’ai pas jouis d’ailleurs. C’est à la fois agréable et terriblement frustrant de ne plus être maitre de sa propre jouissance. J’adore les caresses de Maitresse pendant ce moment de complicité partagé, j’adore sentir ses doigts parcourant mon torse, j’adore craindre qu’elle n’aille pas s’aventurer jusqu’à mon sexe, j’adore sentir sa langue m’embrassant tendrement.

Nous étions la tous les deux et le temps ne comptais plus. Maitresse me caressait le torse sans toucher à ma bite. A un moment donné, elle m’a dit qu’elle était fatigué. J’avoue avoir eu une petite crainte qu’elle ne s’endorme sans me donner mon lot d’excitation, d’attouchement. Je n’ai cependant rien dit car être soumis ne signifie pas ne pas avoir des désirs mais juste ne pas les mettre en avant face au plaisir de sa Maitresse.

Maitresse m’a alors réclamé la couette car elle avait froid. Nous sommes restés enlacés tous les deux sous la couette, nous câlinant doucement.

Jouissance de petit soumis

Heureusement que je ne me suis pas plains car après quelques minutes de repos, les caresses de Maitresse se sont fait plus poussées, les doigts de Maitresse s’aventurant sur ma queue, la branlant comme au début de notre étreinte. Après ça, Maitresse m’a demandé de me branler moi-même car elle adore voir un homme se branler devant elle. Pendant tout ce temps, je ne savais pas si Maitresse m’autoriserait à jouir ou pas. Elle sait qu’un de mes fantasmes est d’arriver au bord de l’orgasme et qu’elle décide de tout arrêter. Elle sait aussi que j’aime beaucoup jouir. Quel fantasme choisirait elle de réaliser ?

Après quelques minutes, j’ai entendu Maitresse me disant que je pouvais jouir sur ses seins, qu’elle m’autorisait à jouir. J’était super content. J’avais réussi même après 20 jours de chasteté à ne jamais lui réclamer le droit de jouir. J’avais réussi à lui donner beaucoup de plaisir sans penser à une quelconque réciprocité de jouissance. Elle m’autorisait sans que je ne l’influence et j’en étais très fier. J’avais agit en soumis. J’ai redoublé d’ardeur pour faire monter le plaisir et jouir sur ses seins. Je me suis mis à genoux sur le lit, la queue au dessus de ses seins et je me suis astiqué jusqu’à l’éjaculation. Je me suis vidé éjaculant une quantité incroyable de sperme. Je ne m’aurais pas cru capable de déverser un tel flot de sperme.

Le test

Après avoir éjaculé, Maitresse m’a dit « nettoie-moi » avec un œil malicieux. Je n’avais pas envie de la lécher d’une part parce qu’il en avait trop et d’autre part parce que je ne fantasme sur le fait de lécher mon sperme que lorsque je suis excité, avant de jouir. Je l’aurais fait si Maitresse avait été insistance et m’avait fait comprendre que je n’avais pas le choix. Je me suis contenté de lui dire « avec un mouchoir ? ». Elle m’a alors sauvé puisqu’elle m’a répondu par la positive mais en prenant bien soin de me faire attendre 2 secondes. Ces secondes m’ont paru durer une éternité.

Maitresse m’a alors dit qu’elle me ferait un jour lécher mon sperme mais qu’elle pensait que c’était encore trop tôt. Elle a tout à fait raison … comme toujours. Du coup, à chaque fois qu’elle m’autorisera à jouir, je me demanderais si elle me fera lécher mon sperme ou pas. Les prochaines jouissances seront terriblement excitante car j’aimerais y être vraiment contraint à le faire un jour, tout en étant terriblement angoissante car je ne suis pas sur d’y arriver. Peut être que la solution est de me faire jouir en chevauchant Maitresse et qu’ensuite elle me fasse lécher sa chatte en l’amenant au dessus de ma bouche. Dans cette position, je ne pourrais m’y soustraire surtout si Maitresse a pris soin auparavant de m’attacher au lit.