Dimanche 1 novembre 7 01 /11 /Nov 12:00

 

Préambule

Je publie aujourd’hui l’histoire de Philippe et Olga, un couple épanoui qui a découvert la soumission par la pratique du candaulisme. Même si je ne partage qu’une partie de leurs fantasmes, je reste admiratif de l’équilibre et de la complicité qu’ils ont su trouver de part cette relation particulière.

Leur histoire montre qu’il n’y a pas une relation D&S mais DES relations D&S et surtout que vivre ses fantasmes permet bien souvent d’atteindre un bel équilibre si l'amour est le ciment du couple. Je souhaite à Philippe et Olga de continuer à nous faire partager encore longtemps leur bonheur, bonheur qui est largement exprimé dans les textes publiés sur leur très beau Blog de Philippe et Olga.

Leur histoire étant racontée avec beaucoup de détails et accompagnée de nombreuses et belles photos d'Olga, je la publierais en 2 parties aujourd'hui et demain.
 

Introduction de Philippe et Olga

Nous avons été sollicités par "Petit soumis" pour publier nos histoires sur nos blogs respectifs, en insistant sur l'évolution progressive vers la soumission totale de Philippe au plaisir d'Olga. Nos approches sont différentes, notre histoire étant davantage fondée sur le candaulisme et celle de "Petit Soumis" sur une relation D/S, mais c'est bien volontiers que nous répondons à cette demande de "liens inter-blogs" et que nous accorderons la réciproque à "Petit soumis", en souhaitant d'ailleurs à ce très joli couple, un bonheur complet dans la réalisation de ses envies D/S et plus s'ils le souhaitent!

Notre récit est écrit à deux mains, le premier texte étant d'Olga, le second de Philippe. Il est l'histoire d'un couple classique, avec une jolie épouse fidèle mais insatisfaite. Ce couple a trouvé le bonheur une fois devenu candauliste. Vous trouverez sur notre blog toutes les explications sur le candaulisme. Retenez simplement que le candaulisme est une pratique sexuelle liée à l'excitation de voir son (sa) partenaire avoir des relations sexuelles avec une autre personne. Le candaulisme est caractérisé par un fantasme bien précis : voir son épouse faire l'amour avec une ou plusieurs personnes étrangères à son couple.

Nous nos présentons brièvement : le mari cocu, Philippe, 44 ans, amoureux fou de sa femme mais mauvais amant qui a réalisé son fantasme candauliste au delà de ses espérances. Son épouse Olga, 31 ans, ex-épouse sage sous qui sommeillait une putain qui assume pleinement sa transformation. Elle a trouvé le plaisir dans les bras des autres et ne peut plus s'en passer. Le plaisir de Philippe est de voir Olga jouir sans limites. Il est heureux quand le sperme coule de la chatte, du cul ou des lèvres d'Olga. Ce qu'il préfère : mater.

Philippe et Olga.

 

Comment Philippe a su me convaincre, raconté par Olga

C'est dans le cadre de mon travail que j'ai rencontré Philippe. Philippe a du charme, il me rassurait, il m'attirait aussi par la force des sentiments qu'il me portait. Nous avons fini par devenir amants. Ce qui a été surprenant, par rapport à la suite, c'est que sans être exceptionnel, il était à ce moment là un amant performant. Nous nous sommes mariés en 2003.


Philippe m'adore et fait tout pour moi. Mais, petit à petit, dans nos relations intimes, il ne m'apportait plus satisfaction. Souvent trop excité, il était victime d'éjaculation précoce. En plus il n'était pas très doué pour me donner du plaisir avec la langue.

J'ai tout essayé pour le mettre en confiance car je l'aime. J'étais obligée bien souvent de me "finir" en me masturbant ou en étant doigtée par Philippe.

J'étais profondément frustrée par cette situation. C'est Philippe qui, le premier, m'a proposé de prendre un amant. Ce que j'ai refusé alors avec indignation, voulant être fidèle à l'homme que j'aime.

A partir de ce jour, le scénario candauliste revint souvent dans nos ébats. Je pensais à ce moment là que le candaulisme était un fantasme de mon mari et qu'il permettait, d'une certaine manière, d'améliorer ses performances pour son devoir conjugal. Pour ma part, dans l'accomplissement de mon plaisir solitaire qui ne faisait qu'accroître ma frustration, j'avais de plus en plus recours à ce fantasme.

L'étape suivante a été ma tenue vestimentaire. J'avais toujours aimé, dès l'adolescence, m’habiller sexy et court. Mais Philippe poussa les choses encore plus loin. Il m'encourageait à porter les tenues les plus sexys, les plus osées. Les robes qu'il m'offrait devaient être courtes pour mettre en valeur mes jolies jambes et mes petites fesses, avoir des décolletés vertigineux, le dos nu. Il disait qu'il était fier de lire dans le regard des autres hommes le désir que je leur inspirais. J'ai fini par céder et je dois dire que je me suis prêtée au jeu. Le regard de désir des hommes, la barre qui déformait leur pantalon, la manière courroucée dont certaines femmes me dévisageaient, au départ tout cela m'a gênée, j'avais honte.

Et puis petit à petit, j'ai pris conscience de ma beauté. J'étais flattée et frustrée de cette situation.

Beaucoup de ses amis, de nos voisins, de ses collègues de travail, me draguaient ouvertement. Je ne donnais pas suite et repoussais ces avances, plus ou moins brutalement selon leur origine, mais sans laisser le moindre espoir.

Philippe tenait souvent des propos qui les encourageaient ouvertement, par exemple que j'étais totalement libre et qu'il ne verrait aucun obstacle à ce que je prenne des amants. Je passais à tort pour une allumeuse, le comportement de Philippe m'agaçait mais en même temps me troublait, m'excitait et me poussait au plaisir solitaire, imaginant des amants vigoureux me satisfaire. Je me disais que si mon mari le souhaitait, pourquoi ne pas lui faire plaisir. Et en même temps, ma morale, mon statut social me poussaient à persister dans mon refus. C'était une torture car j'étais très frustrée dans ma vie sexuelle, compte tenu des piètres performances de mon époux. J'ai compris par la suite que, dès ce moment, Philippe voulait s'humilier à mes yeux et ceux des autres.





Je voulais rester une épouse sage. Dans les réceptions, je n'étais pas dupe des baises main où l'homme se penchait bien, pas par déférence mais pour bien mater ma poitrine.

Philippe avait gagné cette première étape. Je ne rechignais plus à participer aux sorties et dans des tenues que l'on ne pouvait pas ne pas remarquer.




Pour autant, je continuais à refuser les avances. Je me suis faite coincer plusieurs fois par des types, lors de ces soirées, dans une pièce isolée, dans le jardin de la maison de l'organisateur et même aux toilettes. J'ai toujours réussi à les repousser, plus ou moins brutalement. Quelquefois, ça se terminait par une gifle et par des insultes, je me faisais traitée de putain et de petite allumeuse.



J'essayais de maintenir le fragile équilibre entre ma fidélité et cette exhibition, de ne pas céder aux tentations et aux invitations candaulistes de mon mari. Ma ligne de défense étant que ce n'est pas parce qu'une femme s'habille sexy, voire provocante, qu'elle doit être forcée.

Ma tête disait non quand mon corps disait oui, appelait le mâle, demandait des étreintes viriles. J'ai fait une ultime résistance à cette nature entre mars et juillet 2007, après le retour d'un voyage au Brésil. Là bas, je ne m'étais pas offerte une seule fois mais plusieurs fois à des inconnus, nous avions eu avec Philippe notre première expérience de candaulisme auditif puisque mon époux avait pu suivre en direct, sur le haut-parleur du téléphone, tout ce que ces deux inconnus faisaient à son épouse enfin adultère. Pour éviter toute tentation, je me privais de sorties, au grand dam de Philippe.

 


Le paradoxe apparent fut que mon adultère définitif et permanent a commencé, non dans une sortie mondaine, dans un dîner ou autre, mais à l'occasion d'un bref passage au supermarché du quartier. C'était là que m'attendait mon prédateur, Rachid et c'est dans mon immeuble même (et pour être plus précise dans l'ascenseur de mon immeuble, le concierge, complice de Rachid, ne perdant pas une miette des preuves auditives de ma capitulation) qu'il a remporté sa victoire éclaire et complète. J'ignorais à ce moment là que, en désespoir de me convaincre de continuer ce que j'avais commencé à Rio, Philippe avait fait appel à ce fauve pour obtenir ma capitulation. Il me l'a avoué plus tard et, alors que j'aurais du être furieuse d'être traitée ainsi, je n'en veux pas à Philippe. Sans cette initiative, je ne sais pas ce qui se serait passé. Soit je serai devenue folle à force de refuser ce que mon corps réclamait, soit j'aurai fini par prendre un amant "classique", un adultère mesquin, hors cadre candauliste. J'aurai divorcé et je n'aurai pas vécu tout ce que j'ai connu et que je ne regrette pas, oh que non!


Olga nous racontera la suite de leur histoire demain.
Philippe nous donnera également son point de vue .....


 

Par Philippe & Olga - Publié dans : Couples D/s Epanouis - Communauté : Couples candaulistes
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