Vendredi 9 octobre
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Notre petite habitude
Lorsque ma femme travaille de nuit, nous avons pour habitude le lendemain matin de nous rencontrer à la gare pour échanger un bisou. C'est mon petit rayon de soleil matinal, celui de ma femme aussi. N'étant pas un lève-tôt, je fais de grands efforts pour me dépêcher le matin afin de partir de la maison plus tôt, afin d'être sur de ne pas la rater ou du moins pour lui permettre de ne pas m'attendre trop longtemps.
Lorsque ma femme travaille de nuit, nous avons pour habitude le lendemain matin de nous rencontrer à la gare pour échanger un bisou. C'est mon petit rayon de soleil matinal, celui de ma femme aussi. N'étant pas un lève-tôt, je fais de grands efforts pour me dépêcher le matin afin de partir de la maison plus tôt, afin d'être sur de ne pas la rater ou du moins pour lui permettre de ne pas m'attendre trop longtemps.
La déception considérée comme un reproche
En partant travailler la veille, ma
femme avait mis des chaussures neuves, ce qui lui avait causé de nombreuses ampoules. Du fait de ses pieds douloureux, elle est rentré directement sans attendre mon arrivée
à la gare mais en prenant soin de m'appeler sur mon portable pour me l'annoncer. Nous étions chacun en route lorsque son coup de fil fut passé. J'étais extrêmement déçu et bien que je n'ai
fait aucun reproche, ni même suggéré ce qu'elle aurait dû faire, ma maîtresse a bien sentie ma déception. Elle a cru que mon attitude au téléphone était une forme de reproche en sous-entendu.
Ce n'est pourtant pas mon caractère car je suis d'un naturel franc et direct, parfois même trop. Je suis si franc que je ne sais pas cacher mes sentiments et encore moins
mentir.
En partant travailler la veille, ma
femme avait mis des chaussures neuves, ce qui lui avait causé de nombreuses ampoules. Du fait de ses pieds douloureux, elle est rentré directement sans attendre mon arrivée
à la gare mais en prenant soin de m'appeler sur mon portable pour me l'annoncer. Nous étions chacun en route lorsque son coup de fil fut passé. J'étais extrêmement déçu et bien que je n'ai
fait aucun reproche, ni même suggéré ce qu'elle aurait dû faire, ma maîtresse a bien sentie ma déception. Elle a cru que mon attitude au téléphone était une forme de reproche en sous-entendu.
Ce n'est pourtant pas mon caractère car je suis d'un naturel franc et direct, parfois même trop. Je suis si franc que je ne sais pas cacher mes sentiments et encore moins
mentir.La Colère
De retour à la maison, elle m'a rappelé et au téléphone, elle a commencé à s'énerver, à me
reprocher de ne pas lui avoir demandé comment allait ses pieds, à me reprocher mes reproches sous-entendus. Son ton est monté, m'engueulant presque au téléphone. Je suis resté très calme,
acceptant la colère de ma Maîtresse. Je lui ai dit que je n'étais pas capable de faire des reproches en sous-entendu. Je lui ai fait remarquer aussi qu'elle était un peu injuste de s'énerver
alors que je n'avais rien fait de mal. Elle a écouté mon point de vue et s'est calmée.
En arrivant au bureau, j'ai eu la grande joie de
recevoir un message de ma Maîtresse dans lequel elle me disait entre autre "désolé mon amour". Moi de mon coté, sans avoir vu son message, je lui avais
écris un petit message pour lui dire : "Même si je ne te l'ai pas dit, je comprenais la situation et j'ai pris le parti de mettre de coté ma
déception, de ne rien te reprocher ou de ne pas te dire ce que tu aurais dû faire car en tant que soumis et surtout en tant que mari aimant, je pensais d'abord à ton bien-être. Toi, la femme
que j'aime, la Maîtresse que j'adore, tu auras toujours la priorité comme il se doit. Je n'ai simplement pas su cacher ma déception, pas su cacher mes sentiments. c'est la mon seul tort à
priori."
Un comportement de maitresse
Aujourd'hui, ma Maîtresse a laissé parler ton caractère dominant. Je considère que de nous deux, au sein de notre relation D&S, ma Maîtresse est la seule à avoir le droit de s'énerver. Charge aussi à moi de ne pas lui donner de raison de s'énerver. Si elle s'énerve quand même, charge à moi de lui donner des arguments afin qu'elle se rende compte d'elle même qu'elle n'a aucune raison de le faire.
Elle peux laisser s'exprimer son caractère dominant sans crainte, sans avoir à culpabiliser et sans craindre une situation conflictuelle entre nous car comme elle peut le constater, ma soumission à ses désirs permet de régler les conflits bien plus vite. Ne croyez pas que je prenne plaisir à m'écraser. Je ne pense pas être faible en agissant de la sorte mais être au contraire très fort. Je suis très fier d'utiliser mon intelligence plutôt que mon énervement pour régler les conflits. C'est le vrai pouvoir des soumis.
Tout est bien qui fini bien
Je constate aussi que la contrepartie de ma soumission est de recevoir beaucoup d'amour de la part de ma Maîtresse car si elle détient le droit de se mettre en colère, elle n'abuse pas de son pouvoir. Sa grande qualité est de savoir reconnaître ses torts ou plutôt son impulsivité. Pour être franc, je ne pourrais pas être soumis à n'importe quelle femme. Pour moi, chaque soumis correspond une Maîtresse. C'est cela aussi qui me conforte dans le choix de vouloir transformer MA femme en Maîtresse. Je ne voudrais d'aucune autre Maîtresse.
Par Petit Soumis
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Publié dans : Réflexions au quotidien
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Communauté : Couples Cuckold et Gynarchique
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le temps de fermer les volets et de mettre une lumière tamisée dans la chambre.
Maîtresse m'a alors demandé de la caresser. J'étais très excité d'une part
après l'entrée en matière qu'elle m'avait offert mais aussi du simple fait de caresser son beau corps, de passer mes doigts sur ses cuisses, de lécher ses tétons, de l'embrasser tendrement.
Maîtresse m'a alors demandé de lui lécher la chatte. Je me suis confortablement
installé en étant couché avec la tête sur entre ses cuisses, la langue sur son clitoris. Je faisais tourner ma langue sur son clitoris comme elle aime. Pendant ce temps, elle faisait tournoyer
ses doigts sur ma tête, un peu comme si elle tentait de se caresser le clito. Parfois ses doigts s'emballaient et tournaient vite, parfois le rythme était plus doux. Je ne sais pas si elle
essayait de me donner le tempo pour l'utilisation de ma langue. Si c'est le cas, c'est une bonne idée car cela me permet de la lécher EXACTEMENT comme elle le souhaite.
Je l'ai senti se libérer d'un coup et jouir. Dans ce cas, ma langue soit se faire très
légère et même quitter son clitoris qui devient très sensible.
Lorsque nous avons quitté le lit, Maîtresse m'a
fait remarquer que nous prenions de mauvaises habitudes et que je n'aurais pas toujours droit à des caresses et à des excitations de sa part lorsqu'elle prendra son plaisir.
Lorsque nous étions un couple "vanille", je me précipitais sur ma femme en lui faisant
des avances et en lui faisant sentir mon désir aussitôt les enfants couchés. Elle n'aimait pas ça car elle ne peut pas en un claquement de doigt passer de la mère à l'amante.
L'excitation met un certain temps à venir. je le comprend mieux maintenant. Il faut du romantisme, de la séduction et bien d'autres choses. A l'époque nous attendions qu'elle soit prete
comme aujourd'hui, la seule différence est que cela se passe mieux aujourd'hui. Cherchez l'erreur !!!
Le massage du deuxième pied a duré très longtemps, beaucoup plus longtemps que d'habitude.
Ma femme n'a pas encore commencé à inclure des actes BDSM dans notre relation D&S mais elle a parfaitement compris qu'elle pouvait réclamer un massage des pieds et le faire durer aussi
longtemps qu'elle le voulait. Elle a bien raison et elle aurait tord de s'en priver.
Il faut savoir ne pas être soumis parfois.
J'essaye de me monter juste attentionné, amoureux, à l'écoute, serviable.
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