Mon petit soumis

Après l’agréable surprise du doigt dans le cul, Maitresse n’a dit « viens lécher ta Maitresse ».

J’étais tellement content que ma Maitresse ait accédé à mes désirs et qu’elle aille progressivement vers plus de BDSM dans notre relation que je n’avais qu’une envie à ce moment là, la faire jouir avec ma bouche. Je me suis empressé de porter mes lèvres et ma langue sur son sexe.

Le cunnilingus

J’ai commencé à la lécher doucement en commençant par sa vulve. Je pointais ma langue dans son sexe quand je l’ai entendu me dire : « plus haut !! ». Elle commence à diriger ma langue pour améliorer son plaisir et j’aime beaucoup ça.

Je suis donc remonté un peu plus haut sur son sexe. A certains moments, ma langue se faisait douce tournant sur son clitoris. A d’autres moments, ma langue se faisait plus dure pour agacer délicieusement son clitoris en essayant de le sortir de son capuchon. Au début, je ravalais ma salive périodiquement, ma langue devant quitter son clitoris quelques secondes. Lorsque j’ai commencé à sentir les premiers signes du plaisir de Maitresse, ma langue ne quittait plus son clito. Avant, je n’aimais pas agir de la sorte car je sens ma salive couler le long de mon menton. Aujourd’hui, cela ne me dérange plus car je sais que le plaisir de Maitresse en dépend. En effet, lorsque ma langue quitte le clito de Maitresse, son plaisir baisse très légèrement. Si elle s’approche de l’orgasme au moment où je ravale ma salive, il s’échappe pour de bon et c’est frustrant pour Maitresse.

Lors de mon cunnilingus, j’ai commencé à ne pas ravaler ma salive trop tôt et j’ai été obligé de ravaler ma salive après avoir longuement léché Maitresse. Du coup, Maitresse n’a pas pu avoir un orgasme avec ma bouche. Elle s’était approché si prêt que nous devions recommencer de zéro

Prend moi !!!

A force d’être léché, son clito devenait sensible. Maitresse m’a alors demandé de la prendre avec mon sexe. Nous étions dans la position du missionnaire. J’évitais de l’embrasser, non pas parce que je n’en avais pas envie mais parce que cela m’aurait approche de l’orgasme un peu trop tôt. De plus, j’avais jouis 2 fois la semaine dernière et je ne pensais pas que Maitresse m’aurait autorisé une troisième jouissance.

Pour durer un peu plus longtemps, j’ai alterné les moments où je prenais maitresse et les moments où je la léchais. Cela a duré extrêmement longtemps … pas trop car c’était très agréable pour nous deux. Par contre, c’est très difficile pour un petit soumis excité de résister. A un moment, je me suis pincé les couilles pour ressentir une légère douleur afin d’éloigner un petit peu ma jouissance.

Après ça, nous avons changé de position plusieurs fois, essayant la levrette puis une position couché style de la position de la cuillère : maitresse était allongée sur le dos, une jambe allongée, l’autre pliée pour me laisser accéder à son sexe par le coté. Moi, j’étais allongée à coté de Maitresse, ma queue accédant à sa chatte, ma bouche pouvant lui lécher les seins. Nous avons continué dans cette position plusieurs minutes, Maitresse pouvant se caresser le clitoris pendant que mon sexe allait et venait en elle.

La jouissance

Au bout d’un moment, sentant que je ne pouvais plus me retenir, j’ai prévenu Maitresse que j’allais jouir. Sentant elle aussi son plaisir, elle m’a dit de ne pas arrêter et de jouir en elle. J’ai jouis peu de temps après. Dans ces cas là, je me sens un peu penaud, en ayant le sentiment d’avoir « volé » ma jouissance ou du moins en ayant forcé ma maitresse à me l’autoriser. Maitresse ne m’en a pas tenu rigueur car elle a reconnu avoir mis du temps et que j’avais été malgré tout assez endurant, peu être même plus que d’habitude.

J’ai continué à faire des mouvements d’aller-retour avec mon sexe jusqu’à ce que Maitresse me dise d’arrêter. Voyant qu’elle n’avait pas jouis, je voulais lui donner du plaisir avec ma langue. Je savais que j’avais jouis en elle, que ma langue passerait sans doute un peu sur mon sperme mais ça a été plus fort que moi. Je ne peux me résoudre à jouir sans que ma femme obtienne elle aussi une merveilleuse jouissance.

Au moment où ma langue a touché son clitoris, elle m’a repoussé de la main. En fait, Maitresse m’a indiqué qu’elle avait eu une multitude de petits orgasmes durant nos ébats que cela soit avec ma langue ou avec ma queue. Elle n’avait pas jouis au sens strict du terme mais avait eu une jouissance plus diffuse plus longue. En fait, elle avait le sentiment d’avoir jouis même si je ne m’en était pas rendu compte car elle se sentait « toute ramollie » comme après une jouissance et pas du tout frustré comme après un orgasme gâché. J’étais rassuré. Selon Maitresse son plaisir a été aussi intense, peut être même plus que lors d’un orgasme classique. Par contre, ce type d’orgasme m’obligera à être encore plus endurant. Je ne m’en plaindrais cependant pas car plus nos ébats durent et plus je prend du plaisir moi aussi.

La petite phrase

Nous étions tendrement enlacés tous les deux lorsque Maitresse m’a fait remarquer que je jouissais beaucoup en ce moment et qu’il ne faut pas que je prenne ca pour une habitude. Pour moi, cela veut dire deux choses. La première est qu’il ne faut pas que je m’attende à avoir forcément la prochaine jouissance dans 7 jours. La seconde est qu’il faut que je montre à Maitresse qu’autant de jouissance n’est pas préjudiciable à ma soumission. En effet, si j’insiste auprès de ma maitresse pour qu’elle contrôle mon plaisir, si j’insiste pour qu’elle n’hésite pas à me maintenir chaste le temps qu’elle souhaite, j’aime aussi jouir. C’est très excitant de ne pas savoir si je jouirais dans 3 jours ou dans 3 semaines.