Mon petit soumis

Pleinement heureux et pas frustré

Je suis pleinement heureux en étant soumis car la soumission me fait éprouver pleins de sentiments très agréables : tendresse, amour et désir pour ma femme. Ces sentiments, la diminution du nombre des jouissances avec toutes les excitations que cette situation entraine est extrêmement plaisante pour moi. Elle me permet aussi de fantasmer et de me faire mes propres films.

Je ne suis pas frustré en étant excité sans pouvoir jouir car j'aime être plein de désir et d'excitation, j'aime que cette excitation augmente progressivement jusqu'à l'explosion finale. C'est un peu comme un arc, plus il est tendu et plus la flèche part loin. Pour ma jouissance, c'est pareil, plus les excitations sont nombreuses, plus elles durent longtemps et plus ma jouissance est intense.

Pourquoi je ne pense pas avoir besoin d’une ceinture de chasteté

C'est un peu pour cette raison que je ne pense pas avoir besoin de ceinture de chasteté et que je ne triche pas en me masturbant en cachette. Si je le faisais, si je me masturbais dans le dos de ma Maitresse, je ne ferais que gâcher mon propre plaisir. Je ne ferais que tirer ma flèche avec mon arc à moitié bandé. Le plaisir que j'ai à caresser ou masser Maitresse en étant excité serait du coup moins intense. Je préfère en effet caresser ou masser ma femme en étant au summum du manque de jouissance car le faire me donne très envie de jouir et de ce fait, j’en tire une grande excitation que j’apprécie beaucoup.

Une ceinture de chasteté me gênerait beaucoup car je ne pourrais pas bander comme je le fais actuellement. C’est plus une raison technique qu’une raison de principe car je crains d’avoir mal. Je fais des rêves érotiques très agréables et bien souvent la nuit, lorsque je me réveille pour aller aux toilettes, ma queue est tendue comme un mât d’Artaban, si bien qu’il me faut quelques minutes de concentration pour arriver à vider ma vessie. Je dois bien avouer qu’une ceinture de chasteté me fait fantasmer. Si Maitresse me demandait mon avis et voulait en acquérir une, je verrais ça plutôt comme un jeu ponctuel et non comme un mode de vie.

Maintenir mon excitation à des niveaux élevés

J'aime que Maîtresse fasse des activités qui maintiennent mon excitation à des niveaux très élevé. J'aime qu'elle me fasse bander, qu'elle joue avec mon excitation et mon désir. Cela me rend plus amoureux d'elle, me fait ressentir plein d'émotions. Ces émotions, ce désir, cette excitation sont pour moi comme un délicieux parfum. Je ne m'en lasse pas. Ca devient même comme une drogue.

Etre obligé de la masser pendant qu'elle ferait en sorte de maintenir mon excitation même s'il n'y a rien d'autre pour moi qu'une grande excitation me fait beaucoup fantasmer pour toutes ces raisons. Pour moi être soumis n'est pas un sacrifice au profit de sa Maîtresse car le plaisir donné à sa Maîtresse est source de beaucoup de plaisir pour le soumis. Il ne faut pas considérer le fait de demander un massage comme une frustration pour moi mais comme une source de plaisir.

Comment faire pour maintenir mon excitation

Maîtresse me demande souvent comment faire pour contrôler mon excitation. Plutôt que de dire comment faire, je vais décrire l'image qui me vient en tête : maîtresse allongée sur le lit avec une cravache dans la main et qui en userait soit lorsqu'elle constate que le massage n'est pas exactement celui qu'elle attend, soit lorsqu'elle constate que je débande. Pour moi, le massage se rapprocherait d’une séance BDSM et me plairait encore plus.

Pour savoir si je suis content, c'est simple, il suffit de vérifier la grosseur de ma queue. Une petite caresse, un petit effleurement, le jeu de son pied pour que je l'embrasse, un regard de braise, quelques ordres secs ou un baiser passionné et pour moi elle sera la parfaite dominante. Elle l’est déjà d’ailleurs !!!

Un de mes fantasmes est d’être longuement caressé, chouchouté par ma Maitresse. J’aimerais être un jouet entre ses doigts, être branlé par elle jusqu'à la dernière limite avant la jouissance sans savoir si je l'obtiendrais cette fois ci, la prochaine fois ou dans 10 jours. Ca serait pour moi la meilleure récompense. Bien entendu, les excitations ne sont absolument pas une contrepartie du service rendu à ma Maitresse.

Une folle envie de jouir très agréable même non satisfaite

Je ne prétends pas que c’est tout le temps facile car lorsque Maitresse dépasse un certain niveau d’excitation, j’ai une folle envie de jouir. Je ne demande pas qu’elle arrête ces sollicitation bien au contraire car arriver à cet état d’excitation extrême, éprouver une folle envie de jouir même si elle n’est pas satisfaite est une récompense exquise.

Une fois cette folle envie passée, en cas de non jouissance, il reste beaucoup de plaisir. Le lendemain en particulier, je ne peux m’empêcher de penser au sexe, de fantasmer, d’imaginer ce que ma maitresse fera la prochaine fois. Je me fais plein de films dans ma tête. Cette cérébralité est très plaisante et rien que pour cette sensation, ca vaut le coup d’attendre le bon vouloir de sa Maitresse. C’est d’ailleurs pour cette raison que je ne demande plus à Maitresse si je peux jouir. Ca gâcherait mon plaisir.

Quand me laissera-t-elle jouir ?

Je n’en sais rien mais en attendant, la machine à fantasme fonctionne à plein régime et c’est très agréable. J’en suis à quasiment 3 semaines sans jouissance et pour quelqu’un qui auparavant jouissait 2 à 3 fois par semaine, je le vis très bien … très bien même. Maitresse peut donc sans problème et sans crainte contrôler mes jouissances pendant plusieurs semaines. En plus, elle peut constater que le manque de jouissance ne me rend pas pénible mais beaucoup plus tendre.

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Entre le moment où j'ai écrit cet article et cette publication, Maitresse m'a laissé jouir après 20 jours de chasteté. Avant de vous raconter comment ca s'est passé, je voudrais continuer la série sur l'adoration du corps de Maitresse. Il faudra patienter une petite semaine car j'ai plein plein de choses à raconter avant. Je ne peux pas tout raconter d'une traite car je préfère être régulier et publier un article par jour.