mon petit soumis


Quels sont les avantages à avoir un mari soumis?
 
Un des avantages est qu'une Maitresse peut ordonner à son soumis de réaliser toutes les taches ménagères qu'elle souhaite.  

Pendant que son soumis s'affère, elle peut se détendre en faisant l'activité qu'elle souhaite : repos avec une petite sieste, détente avec un livre ou un film, etc.

Elle n'a pas à culpabiliser de se détendre pendant que son soumis travaille car il est naturel qu'un soumis fasse plaisir à sa Maitresse.


Le plaisir peut être physique avec un massage ou du sexe. Mais le plaisir peut prendre la forme de corvées pour que sa maitresse ait un environnement agréable.  



C'est ce que j'ai essayé de montrer à Maitresse ce week end


  Pendant que Maitresse faisait une petite sieste et se reposait, j'ai été spontanément nettoyer la cuisine et la salle de bain. Je ne me suis pas contenté de faire en sorte que le résultat soit visible mais j'ai essayé de faire travail soigné afin que Maitresse soit réellement satisfaite.  
Maitresse a été agréablement surprise. Elle est enchantée d'avoir une maison propre. Par contre, elle culpabilise encore de demander à son soumis de réaliser des taches ménagères pendant qu'elle se détend. Personnellement, je demande à Maitresse de m'ordonner de réaliser ces taches car je suis pleinement heureux lorsque ma femme s'exprime comme une Maitresse, me donne des ordres et m'indique que mes efforts lui permettront d'être heureuse.  

Mon bonheur est de la rendre heureuse à chaque instant.
Mar 15 sep 2009 2 commentaires

C'est sympa d'avoir mis en lien un de mes articles.

Bonne continuation :)

SMment,

Tarentule

Tarentule - le 22/08/2013 à 19h52

Karim mon mari esclave

Mon mari Karim (lailatvx sur le net) et moi, nous formons un vrai couple depuis 10 ans. Notre vie sexuelle est épanouie, et je prends plaisir à le sucer autant qu'à me faire sucer et enculer. Mais dernièrement, tout a basculé suite à une vantardise de sa part : Je te parie qu'on peut baiser pendant une heure d'affilée sans que je débande ! Prétendait-il.
Moi, je doutais un peu. Il m'a limée, avec sa petite queue bien droite et fine, mais pas durant une heure car il a vite joui en quelques secondes. Au fait, c’est un éjaculateur précoce !

Total en gage, j'ai eu le droit de lui demander ce qui me plaisait.
- Karim, je vais t'habiller en femelle et tu m'obéiras en tout ! Tu seras ma petite pute à queue !
Mon mari faisait la grimace. Je l'ai fait mettre nu, je l'ai lavé partout, et j'ai déballé mes sous-vêtements. J'ai étiré un slip en dentelles sous son nez. Une fois en érection maximale, j'ai accroché le slip au bout de sa bite pour l'humilier. "Ta queue sera comme un portemanteau", lui ai-je dit. Alors Karim a rougi comme un gamin. Amusée, j'ai pris le slip par ses extrémités et j'en ai fait une sorte d'élastique passé autour de la queue de mon homme.
J'ai cisaillé son membre en tirant le slip par les deux bouts. Karim gémissait et me demandait d'arrêter. "Non, tu dois m'obéir en tout! ". II a compris et s'est calmé, alors je l'ai fait mettre à quatre pattes. J'ai doigté son anus en le félicitant d’avoir une si belle croupe, et puis même jeu avec le slip tendu comme un élastique.
Chaque fois que je passais et repassais ce bout de tissu entre ses fesses, il couinait très fort. Finalement, je le lui ai fait enfiler. J'ai complété avec des bas, un porte-jarretelles, un soutien-gorge. Je l'ai emmené devant la glace, et là, je l'ai peloté. II bandait si dur que mon pauvre petit slip était prêt à se déchirer. Je n’en revenais pas, mon mec était une vraie salope !
Pour le calmer, je suis allée prendre le plumeau, à manche de bambou et je lui ai donné vingt coups sur le cul. Il se trémoussait, de larges zébrures rouges le marquaient sur les fesses. Je me suis calmée, le temps de me mettre nue. "Karim, vilain petit chien, lèche ta maîtresse !" II a dû faire le beau entre mes cuisses et me donner de grands coups de langue dans la chatte. J’étais léchée, lâchée et toute excitée…
J'écartais mes lèvres et mes nymphes pour lui rendre l'accès facile. Puis, je me suis retournée, penchée en avant, et j'ai posé ma lune bien en chair sur sa bouche d'esclave. "Suce et lèche, petit sale pédé, enfonce ta langue dans le trou de ta maîtresse ! ".
Mon époux a obéi, pour la première fois sa langue glissait dans mon anus dilaté de plaisir. J'ai écarté mes fesses à deux mains pour mieux jouir de cette caresse baveuse. En même temps, je me branlais par-devant et ma tige d'amour se gondolait, toute rose. J'ai pressé ce petit sexe en érection jusqu'à ce qu'il devienne douloureux, alors je l'ai simplement titillé du bout des doigts et j'ai joui.
Mon jus coulait entre mes cuisses, dans mes poils. Je me suis retournée à temps pour pose ma fente sur la bouche de Karim et lui ordonner de me boire. II a bien nettoyé ma fente juteuse, alors je lui ai accordé une caresse sur la joue.
Je me prenais à fond au jeu puisque, lui aussi, apparemment adorait cela… j’en rajoutais alors…
Karim reçut l'ordre de faire la vaisselle, le ménage, de nettoyer la salle de bain, le tout en petite tenue. II était mignon, son cul moulé par mon slip de dentelle, sa queue en érection, et ses cuisses gainées de nylon. J'ai passé l'inspection, déniché une tasse mal lavée, ce qui lui a valu vingt coups de manche en bambou. II se tortillait de douleur, moi je frappais très dur, je jouissais debout, rien qu'à voir mon homme réduit à l'état de soubrette.
J’avais une terrible envie de le battre qui me faisait me mordre les lèvres, J'ai dégrafé son soutif et sucé ses tétons qui ont durci. Alors, je les ai cinglés avec l'extrémité du manche, et cette fois, Karim s'est écroulé à mes pieds. II m'a supplié d'arrêter.
Je lui ai fait grâce et je lui ai dit de s'allonger sur le lit. Je lui ai retiré son slip et j'ai sucé son gland. Je titillais le méat du bout de ma langue et puis je m'enfonçais ce manche dans le gosier jusqu'à ce que ses couilles me caressent le menton. J'ai bien joué avec ma "poupée mâle", et puis je me suis emmanchée sur sa petite bite luisante de salive. J'ai chevauché mon esclave de face, en l'autorisant à me travailler délicatement le bout des seins. II s'est appliqué et m'a fait jouir très fort.
Depuis ce jour, mon mari me supplie de le travestir en femme et de le commander. II supporte de mieux en mieux les punitions, la cravache (que je viens d'acheter), et accepte même sans rechigner de se mettre au service de mes amies intimes.

Dernièrement, avec mon amie Jamila, nous avions passé l'après midi à nous distraire avec Karim. Il avait d'abord fait le ménage en tenue de soubrette pendant que nous faisions l'amour toutes les deux dans la chambre. (Jamila est une superbe blonde de 30 ans très portée sur les femmes) ensuite nous avons "inspecté" le travail effectué par notre "bonniche" et, bien sur, nous avons trouvé plein de choses à redire ! Nous lui avons donc infligé une punition de 50 coups de cravache. Karim voulut discuter comme quoi c'était trop, mais Jamila lui dit "Un mot de plus et ce sera 100 coups" il se tût immédiatement et sur mon ordre, il se mit en position sur « le punissoir ». Il s'agit d'un banc assez haut au-dessus duquel il peut se plier. On attache ensuite ses chevilles écartées aux montants d'un des cotés et ses poignets de l'autre coté. Son cul est alors offert et nous pouvons donner libre cours à nos envies de le maltraiter. Le petit salaud ne se plaint d'ailleurs pas souvent de cet "accessoire" puisque c'est lui qui l'a construit. Une fois encore, nous avons eu la preuve que mon esclave était excité par ce qui allait lui arriver car il bandait comme un Turc. (Si ce n'est la dimension de son engin qui n'est pas vraiment comparable à un Turc.)

Avec Jamila, nous nous sommes partagé les 50 coups en riant et en nous efforçant de bien marquer ce joli cul offert à notre sévérité. Alors que nous arrivions au bout des 50 coups et que le cul de mon chéri était bien rouge et marqué, ce petit salaud se mit à éjaculer en grognant comme un porc et sans même s’être masturbé. Nous étions à la fois ravies de l'avoir fait jouir comme ça et très en colère qu'il n'ait pas demandé l'autorisation de jouir. Nous avons ensuite pris le thé, excitées comme tout, et après nous avoir servi, nous avons mis Karim au coin, les mains sur la tête, la jupette relevée pour exhiber son cul bien zébré.

Au cours de la discussion, Jamila me dit soudainement : "Ma chérie, tu sais que je ne raffole pas des hommes, mais je sais que toi, tu les aimes. Maintenant que tu as une bonniche à la place d'un mari, il serait temps que tu prennes un amant pour satisfaire tes envies. D'autant plus que si ta lopette jouit à chaque fois que tu lui caresses les fesses avec la cravache, il ne pourra jamais te satisfaire."

Je n

lailatvx - le 09/11/2013 à 07h38